Le père paret : theologie catholique





histoire des grandes églises en france
D'unité et de développement civile.

Les imposantes cathédrales se élèvent à le bout du xiie siècle à sens noyon, laon, reims, amiens, saint-denis, le mans agglomérations qui toutes avaient, les premières, signalé la délivrance des communes; dans la ville-capitale du Île-de-france, cœur du pouvoir du roi, paris; à rouen, centre de la meilleur province conquise par philippe auguste; à liège, capitale de la commune princiaire de liège.
Au secteur de ces dangers, par son comportement à la fois ferme et prudente, le roi sut retenir les prétentions cléricale dans du plafond avantageux à son pouvoir, et faire prévaloir le pouvoir du roi sur la féodalité. Dès cette époque nous assistons à ces constructions se ralentir, ou se finir en vitesse, à moins immense échelle, et s'atrophier pour ainsi dire. Les rares analyses des opérations montrent que les réserves faites par les pontifes se étaient épuisées, généralement en rachat de logements autour des traditionnelles cathédrales, et dans le début de la construction du église. Celle-ci, n’étant plus alimentée que par des dons par ans et les excédents débarrassés par les ressources du domaine du évêque, ralentissait donc.
À l'aboutissement du xiiie siècle, les travaux de ces grands constructions tardivement issues de terre n’débarquèrent pas à leur constitution final ; ils se éteignirent brusquement ; si les grandes églises furent terminées, ce ne fut plus que à l'aide des efforts privés de évêques ou de chapitres qui employèrent leurs propres biens afin de clôturer ce que la foi et l'ardeur de toute une population avaient permis de démarrer. Rares sont les grandes églises qui aient été terminées telles qu'elles avaient été projetées ; et cela se comprend : le époque pendant laquelle leur existence est en quelque sorte un besoin impératif, l'expression d'un désir implacable, est comprise entre les années 1180 et 1240. 60 ans. Ce qui étonne actuellement, c’est qu'en un temps aussi petit on ait pu acquérir, sur un territoire également immense, des résultats également surprenants ; car ce n’était pas uniquement des manœuvres qu'il fallait découvrir, mais des milliers d'artistes qui, la majorité, étaient des hommes dont le talent dans l'exécution des ouvrages est pour nous à présent un fond d'admiration.

En dehors du domaine du roi, le mouvement n’est pas, et ce n’est qu'après, vers la fin du xiiie siècle, quand la monarchie eut à peu près rassemblé toutes les provinces des gaules à la couronne, que l'on entreprend la reconstruction des cathédrales. C’est à ce moment que certaines diocèses substituent leurs vieux édifices par des batiments récents élevées sur des plans sortis du domaine du roi. Mais ce mouvement est restreint, timide, et il se stoppe bientôt par suite du fil à retordre politiques du xive siècle.
À la mort de charles v, en 1380, les britannique ne détiennent plus que bordeaux, le cotentin et calais ; mais la résine est épuisée : les grandes églises dont la reconstruction n’a jamais été commencée durant tout le xiiie siècle restent ce qu'elle étaient ; celles restées inachevées s'achèvent avec difficulté.






histoire du gotisme
Le style flamboyant se montre principalement en haute picardie6 et en Île-de-france, les tous 1ers monuments protogothiques naissant dans la région francilienne. La principale hypothèse pour expliquer ces lieux d'apparition francilien et picard est que sont ils fondamentalement habités à cette époque de monuments paléochrétiens, spécialement de grandes églises à murets achèvements, charpentées et percées plusieurs baies. Ces zones sont donc déjà préparées à les éventail stratégiques et esthétiques du flamboyant. D'autre part, elles assistent à l'arrivée des capétiens et la stabilisation du État qui, à mesure de l'annexion des fiefs féodaux, impose comme emblème du pouvoir royal le renouvellement de ces bâtiments. Naturellement, elles sont à la frontière de domaines dynamiques à le niveau des inventions architecturales : la bourgogne , la normandie qui fait venir la voûte sur croisée d'ogives d'angleterre. Emplacement de passage, de brassage, la picardie et le Île-de-france voient les 1ers maîtres flamboyants abréger toutes ces influences.
La forme évolue dans le temps : à le flamboyant dit primitif succèdent sur le territoire français le médiéval traditionnelle ( 1190 - 1230 autour de ) , puis le moyenâgeux rayonnant , pour finir le flamboyant médiéval ( xve / xvie siècle ). À la renaissance, la forme médiéval évolue, en france, vers une forme hybride d'architecture gothique et de décor renaissance.
Son extension topographique se fait fondamentalement en europe occidentale et l'architecture médiéval se répartie en plusieurs variantes locales : flamboyant angevin, normand, perpendiculaire...





l'art flamboyant
Il s'admet par l'emploi de l'arc brisé, dont la clef de voûte forme un angle entre les 2 arcs qui la composent. Il a d'autant plus été exploité pour la reconstruction des grandes églises.
Son apparence est plus fin et élancé, à l'aide de l'emploi d'arcs boutants, afin de reporter l'accroissement loin des murs, qui sont dans ce cas évidés afin de faire place à de fortes baies. Les façades s'ornent alors de splendides vitraux comme à la sainte chapelle, ou dans la cathédrale de beauvais, plus forte clé de voûte gothique, avec 48 mètres caractérisée par son type en croix grecque ( le transept et la nef détiennent la même taille ).