La paroisse du père paret : la vie catholique





histoire des grandes églises en france
D'unité et de constitution civile.

Au secteur de ces risques, par sa conduite à la croyances clôture et attentife, le roi sut contenir les prétentions cléricale dans du plafond avantageux à son pouvoir, et faire prévaloir le pouvoir du roi sur la féodalité. Dès cette période nous assistons à ces réalisations se ralentir, ou se clôturer en vitesse, à moins vaste échelle, et s'atrophier pour ainsi dire. Les rares études des opérations montrent que les réserves faites par les pontifes se étaient épuisées, souvent en rachat de logements à l'alentour des traditionnelles cathédrales, et dans le lancement de la construction de la paroisse. Celle-ci, n’étant plus nourrie que par des dons par ans et les excédents débarrassés par les ressources du monde du prélat, perdait en vitesse donc.

Hors du domaine du roi, le mouvement n’existe pas, et ce n’est que bien après, vers la fin du xiiie siècle, lorsque la monarchie eut approximativement réuni les différentes provinces des gaules à la couronne, que l'on entreprend la restructuration des grandes églises. C’est alors que quelques diocèses remplacent leurs vieux monuments par des monuments neufs élevées sur des plans sortis du domaine du roi. Mais ce mouvement est limite, hésitant, et il se stoppe prochainement par suite des difficultés politiques du xive siècle.


À le décès de philippe le bel, en 1314, le domaine royal s'est étendu : il a englobé la champagne ; il contient le languedoc, le marquisat de provence ; il a l'auvergne et la bourgogne à le sein de ses provinces. Montpellier, carcassonne, narbonne, la capitale des gaules, exécutent dans leurs cathédrales des travaux colossals et tentent de les régénérer. Clermont en auvergne, tente de suivre l'exemple. Les provinces anglaises et la provence, seules, tiennent bon.











tournant
Depuis le point de départ et jusque à le xve siècle, dans toute l'europe chrétiens, le édifice de la paroisse était propre à une prière d'ensemble dirigée vers l'est. Car l'attente du soleil levant est un trait principal de la prière et de la spiritualité chrétiennes. Maintenant cette tradition est maintenue dans le Église d'orient. De même, le soleil veut dire d'abord clarté et clarté suprême (. . . ) et d'après saint eusèbe d'alexandrie, les chrétiens jusque à le ve siècle chérissaient dieu le visage orienté vers le soleil levant. Le soleil montant est d'ailleurs relativement souvent comparé à un volatile. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le lever du jour, et nos clochers chrétiens emportent encore cet oiseau qui constitue la vigilance de l'esprit en patientant la seconde débarquée du christ, l'apparition de la grande aurore1. Le coq est d'ailleurs en général représenté grâce à les instruments de la passion.