Le père paret : christianisme social




le future des églises en france
à défaut d'un entretien suffisant à le nom des municipalités qui en sont responsable, plus de 5000 églises sur les 40000 que dénombre la france encourent un risque important de être rasées dans les prochaines années. Il faut remarquer que les villages n’ont pas toujours les moyens financiers de maintenir leur paroisse, bien qu'elle n’est pas très imposante. De même, quelques villes qui comptent les dizaines de très beaux monuments, ne peuvent fréquemment garantir seules l'entretien et les chantiers. La france est l'une des nations qui compte le plus grand nombre de monuments religieux, et c’est de façon totale que les frais de restauration est très important. Ce problème s'emploie de la même manière à le grand nombre de châteaux.









lieu de construction
Les premières paroisses, à le temps de la clandestinité, c-à-d avant l'ive siècle, étaient des maison-églises, c-à-d une pièce réservée dans la demeure d'un richissime chrétien. Parfois, des ossuaires, lorsque elles débutèrent à être édifiées, notamment à rome.

Traditionnellement, quand on avait décidé de construire une église :
On choisissait un saint patron de ce bâtiment ; ce éventail était communément le fait du patron temporel de la paroisse, sur le secteur duquel la paroisse allait être fabriqué : le évêque, un propriétaire, et des monastères ;
Pour les plus grandes églises, à partir du centre du moyen-Âge, à l'emplacement qui serait la croisée des transepts, on plantait un imposant mât ; à l'aube, la journée de la fête du saint protecteur ; sinon, en soirée, le jour de cette même fête , on notait l'ombre emportée par le mât : l'orientation de cette ombre définissait le pôle est-ouest, connu sous le nom de decumanus chez les romains. D'autres travaux allaient accompagner ; retracé du cercle dans lequel s'inscriraient les quatre piliers du transept, tracé du cercle définissant le refuge, signification de la nef.