Le père paret : christian saint andre




l'avenir des paroisses en france
à défaut d'un entretien suffisant à le nom des municipalités qui en ont la charge, plusieurs milliers de paroisses sur les 40000 que dénombre la france risquent beaucoup de être rasées dans les années à venir. Il faut noter que les villages ne disposent pas toujours des ressources bancaires d'entretenir leur église, bien qu'elle n’est pas très importante. De même, quelques agglomérations qui dénombrent les dizaines de très beaux édifices, ne peuvent souvent garantir seules l'entretien et les chantiers. La france est l'une des nations qui dénombre le plus de monuments clérical, et c’est de façon complète que le coût de rénovation est très élevé. Cet incident s'applique de la même façon à le grand nombre de manoirs.
Y a pas de véritable inventaire des bâtiments cultuels sur le territoire français. Le poste d'observation du patrimoine théologique en estime le nombre à dix mille sur la base d'une moyenne de 2, 5 édifices dans chacune des 36000 communes.
Les églises reconnues en vue de leur architecture ou leur décor interne sont capables de générer un tourisme, et donc un dynamisme économique, capable de simplifier la maintenance. Mais tous les bâtiments théologique ne sont capables d'attester à un important voyage, ce qui rend difficile leur rénovation.



architecture flamboyant
Ce sont les italiens de la renaissance qui ont nommé gotico gothique ce style initialement désigné francigenum opus ( ou opus modernum ) , à le pied de la lettre œuvre française, c’est-à-dire manière de bâtir en Île de france. Le terme gothique est visiblement utilisé pour la 1er fois par l'artisan peintre raphaël vers 1518 dans un rapport à le chef du Église léon x sur le maintien des locaux antiques : raphaël considère que les arcs en ogive de l'architecture gothique rapellent la courbure des arbres formant les cabanes antiques des citadins des espaces verts d'allemagne - une légende qui va refaire surface chez les romantiques - et fait référence, de façon neutre, à l'art gothique du ve siècle, nommant en revanche le francigenum opus médiéval sous le mot art tudesque1. Flamboyant est après repris dans un sens péjoratif par le critique d'art giorgio vasari en 1530, faisant lui référence à la sacoche de rome par les sanguinaire goths. L'art médiéval était ainsi le œuvre de barbares pour les italiens de la renaissance, car il aurait résulté de l'oubli des stratégiques et des beautés esthétiques gréco-romains. L'art médiéval a également été vivement critiqué par des auteurs français comme boileau, la bruyère ou jean-jacques rousseau, avant de devenir aménagés par des architectes comme francesco borromini ou jan blažej santini-aichel inventeur du style baroque moyenâgeux

La plupart des archéologues et des homme d'histoires de l'art réfutent ce verdict et montrent que, vis à vis de l'art roman qui la devance, l'architecture flamboyant n’est pas tant un divorce qu'une évolution.
L'architecture flamboyant apparaît en Île-de-france et en haute picardie à le xiie siècle ; elle se répand vite à le nord de la loire, puis à le sud de la loire et en europe jusque à le milieu du xvie siècle egalement jusque à le xviie siècle dans certains pays. La technique et l'esthétique flamboyant se coninue dans l'architecture française au-delà du xvie siècle, en pleine période traditionnelle, dans beaucoup de détails et usages de restructurations, puis vient un véritable regain avec la vague de l'historicisme à le xixe siècle, jusque à le courant du xxe siècle : le style fut nommé néo-gothique.
Son identité grande est aussi bien philosophique qu'architecturale. Elle représente probablement, de ces deux points de vue, l'un des plus grands achèvements artistiques du moyen-Âge.





l'architecture récente

On qualifie de récentes les églises bâties sur le territoire français à partir des ans 1920, à la suite des destructions de la 1ere guerre mondiale, spécialement. Les architectes renouvellent le sujet, proposent des innovations tout en faisant attention à le respect des règles liturgiques. Quelques églises sont issues du déplacement d'urbanisation des métropoles, le Église catholique souhaitant que des bâtiments de cultes se trouvent à le plus près des populations : le Église notre-dame du raincy par auguste perret est l'une d'elles.
À partir des années 1950, après les démolitions de la deuxième guerre mondiale, plus importantes, la reconstruction de monuments va accompagner la circulation liturgique qui précède le concile vatican ii et placer pas mal de trouvailles, notamment en france et en allemagne, nations sévèrement touchées. La périodique de l'art sacré s'en fera particulièrement un écho exigeants.