Le père paret : les sites chretiens




but et origine des cathédrales
Le mot a pour racine le mot français cathèdre, qui vient lui-même du grec , voulant dire siège, par conséquent trône épiscopal. En vieux français, on voit le verbe cathédrer et le participe cathédrant, qui veulent dire siéger et siégeant dans les écritures de montaignecitation nécessaire. Le mot cathédrale lui-même était d'abord un adjectif ( on disait église cathédrale ) avant de devenir un nom à le xviie siècle.
Dans les paroisses primitives, le trône du prélat, la cathèdre ( cathedra en latin ) était mise à l'extrémité de l'abside, dans l'axe, comme l'administration du magistrat de la basilique primitive, et l'autel se élevait de l'avant de la tribune, ordinairement sur le tombeau d'un martyr. Le pontife, encadré de son clergé, se trouvait donc de l'autre coté de l'autel, seul et dépourvu de retable ; il assistait à ainsi l'officiant en face. Cet arrangement antique explique pourquoi, jusque vers le milieu du dernier siècle du moyen Âge, dans certaines cathédrales, le maître-autel n’était qu'une table sans gradins, tabernacles ni retables.
Le siège épiscopal était le signe et l'emblème de la juridiction des prélats. La judicature épiscopale était ainsi le véritable liaison qui unissait la basilique primitive à le église chrétienne. La cathédrale n’est non seulement une paroisse appropriée à la section de la religion, elle conserve, et possédait bien plus encore en cours des premiers siècles du église chrétienne, le comportement d'un tribunal sacré, et les grandes églises sont restées longtemps, jusque à le xive siècle, des édifices à la croyances théologique et civils. On ne s'y avait rassemblé pas seulement en vue d'assister à les messes, on y faisait aussi des assemblées d'ordre politique ; les considérations cléricales n’étaient cependant pas dépourvues d'influence sur ces réunions civiles ou martials.





histoire du gotisme
La forme médiéval se montre fondamentalement en haute picardie6 et en Île-de-france, les tous 1ers édifices protogothiques voyant le jour dans la région francilienne. La principale hypothèse afin d'expliquer ces lieux d'apparition francilien et picard est que sont ils principalement peuplés à cette période de locaux paléochrétiens, particulièrement de grandes églises à murs fins, charpentées et percées plusieurs baies. Ces zones sont ainsi déjà préparées à les assortiment stratégiques et esthétiques du flamboyant. D'autre part, elles voient l'arrivée des capétiens et la stabilisation du État qui, au fure et à mesure de l'incorporation des fiefs féodaux, dicte comme signe du pouvoir royal le renouvellement de ces bâtiments. Enfin, elles sont à la frontière de régions énergiques d’un point de vu des inventions architecturales : la bourgogne ( arc brisé inventé à l'abbaye de cluny, arc-boutants inventés à cluny et vézelay ) , la normandie qui fait venir la voûte sur croisée d'ogives d'angleterre. Endroit de passage, de brassage, la picardie et le Île-de-france voient les 1ers maîtres médiévals résumer toutes ces influences.





l'architecture récente

On nomme modernes les paroisses bâties en france à partir des années 1920, à la suite des démolitions de la première guerre mondiale, particulièrement. Les architectes réitèrent l'objet, proposent des changements tout en prenant soin du respect des règles liturgiques. Certaines paroisses sont sorties du déplacement d'urbanisation des métropoles, le Église catholique souhaitant que des monuments de pières se trouvent à le plus proche des populations : le Église notre-dame du raincy par auguste perret est l'une d'elles.

Dans les années 1960 les paroisses récentes correspondent d'une part à la reconquête catholique de leur situation géographique et des banlieues, par ailleurs à le bout de la durée des reconstructions.
Elles ont des signatures architecturales : le corbusier, claude parent, paul tournon. Elles laissent tomber le plus souvent le relief de croix romaine. Siège de la paroisse de Évry-corbeil, la cathédrale de la résurrection de Évry est l'unique à avoir été dédiée en france à le xxe siècle.