La paroisse du père paret : christian petit





histoire des cathédrales sur le territoire français
D'unité et de développement civile.

L'entente cléricale avec la monarchie ne s'attarda pas à contrarier les barons ; st louis admit prochainement que le gouvernement royal ne faisait que changer de maître. En 1235, l'aristocratie de france et le roi se réunissèrent à saint-denis en vue de restreindre la puissance que les tribunaux ecclésiastiques se étaient arrogée. En 1246, les barons écrirent un traité de fusion et nommèrent une prime des quatre plus performants parmis eux, afin de décider dans quels cas le baronnage devait prendre fait et cause pour tout seigneur vexé par les religieux ; par ailleur, chaque seigneur donnait parole à mettre en commun la centième partie de son revenu, en vue de continuer activement la mission de la fusion.
Au milieu de ces dangers, par sa conduite à la croyances clôture et prudente, le roi sut contenir les prétentions du clergé dans du plafond avantageux à son pouvoir, et faire prévaloir l'autorité du roi sur la féodalité. Dès cette période nous voyons ces constructions se ralentir, ou se clore en vitesse, à moins immense échelle, et s'atrophier pour ainsi dire. Les rares études des opérations montrent que les réserves faites par les prélats se étaient vidées, généralement en rachat de logements autour des traditionnelles cathédrales, et dans le début de la fabrication du église. Celle-ci, n’étant plus nourrie que par des dons par ans et les excédents dégagés par les ressources du monde du évêque, perdait en vitesse ainsi.
À la fin du xiiie siècle, les chantiers de ces vastes mise en places tard sorties de terre n’débarquèrent pas à leur développement final ; ils se éteignirent subitement ; si les grandes églises furent achevées, ce ne fut plus que à l'aide des sacrifices privés de pontifes ou de chapitres qui employèrent leurs propres biens afin de terminer ce que la foi et la fougue de tout un peuple avaient permis de démarrer. Raréfiés sont les grandes églises qui aient été closes comme elles avaient été projetées ; et cela se comprend : le époque durant laquelle leur quotidien est en quelque sorte un besoin impérieux, le terme d'un souhait implacable, est incluse entre les années 1180 et 1240. 60 ans. Ce qui interloque actuellement, c’est qu'en un temps aussi petit on ait pu obtenir, sur un territoire également vaste, des retombées également interloquants ; car ce n’était pas seulement des stratégies qu'il fallait trouver, mais des centaines d'artistes qui, la majorité, étaient des individus dont le talent dans la réalisation des œuvre est pour nous à présent un domaine d'admiration.

Hors du domaine du roi, la circulation n’est pas, et ce n’est qu'après, vers la fin du xiiie siècle, quand la royauté eut approximativement réuni toutes les provinces des gaules à la couronne, que l'on entreprend la restructuration des grandes églises. C’est alors que certaines diocèses remplacent leurs vieux édifices par des monuments neufs élevées sur des plans sortis du domaine du roi. Mais ce mouvement est restreint, timide, et il se stoppe bientôt par suite du fil à retordre politiques du xive siècle.


À la mort de philippe le bel, en 1314, le domaine royal s'est étendu : il a englobé la champagne ; il possède le languedoc, le marquisat de provence ; il a l'auvergne et la bourgogne à le sein de ses provinces. Montpellier, carcassonne, narbonne, la capitale des gaules, exécutent dans leurs cathédrales des travaux considérables et essaient de les régénérer. Clermont en auvergne, essaie de suivre l'exemple. Les provinces anglaises et la provence, seules, tiennent bon.
À le décès de charles v, en 1380, les anglo-saxon ne possèdent plus que bordeaux, le cotentin et calais ; mais la résine est épuisée : les cathédrales dont la reconstruction ne fut pas démarrée pendant le xiiie siècle demeurent ce qu'elle étaient ; celles demeurées inachevées se finissent avec difficulté.









emplacement de mise en place
Les premières paroisses, à le temps de la clandestinité, c. A. D. Avant l'ive siècle, étaient des maison-églises, c’est-à-dire une pièce réservée dans la maison d'un riche chrétien. Quelquefois, des catacombes, quand-t-elles démarrèrent à être réalisées, particulièrement à rome.
Dans les agglomérations romaines, après la chute des religions polythéistes, les prélats s'efforcèrent de établir les lieux de pières à le christ à le lieu de temples ou d'adulateur. Dans les grands domaines fonciers, les chapelles devinrent peu à peu des paroisses paroissiales.
Habituellement, lorsque on avait statué de fabriquer une église :
On choisissait un saint patron de ce édifice ; ce éventail était souvent le fait du patron temporel du église, sur le secteur duquel le église allait être construite : le prélat, un propriétaire, et des monastères ;
Pour les plus grandes églises, à le travers du milieu du moyen Âge, à l'emplacement qui serait la croisée des transepts, on plantait un imposant mât ; à l'aube, le jour de la fête du saint protecteur ; sinon, à le coucher du soleil, la journée de cette même fête ( si cette fête se célébrait à la suite du 21 juin ) , on notait l'ombre portée par le mât : l'orientation de cette ombre définissait l'axe est-ouest, nommé decumanus chez les romains. D'autres opérations allaient accompagner ; tracé du cercle dans lequel s'inscriraient les quatre piliers du transept, retracé du cercle définissant le refuge, définition de la nef.