La paroisse du père paret : jean-loup chretien
histoire des grandes églises sur le territoire français
D'unité et de constitution civile.
Les imposantes grandes églises se élèvent à le bout du xiie siècle à sens noyon, laon, reims, amiens, saint-denis, le mans métropoles qui toutes avaient, les premières, signalé la délivrance des communes; dans la ville-capitale du Île-de-france, cœur de l'autorité monarchique, paris; à rouen, cœur de la meilleur province conquise par philippe auguste; à liège, capitale de la principauté de liège.
Au milieu de ces dangers, par sa conduite à la fois clôture et attentife, le roi sut retenir les prétentions du clergé dans du plafond favorables à son pouvoir, et faire prévaloir le pouvoir du roi sur la féodalité. Dès cette période nous voyons ces réalisations se ralentir, ou se finir en se dépêchant, à moins grand échelle, et s'atrophier en quelque sorte. Les quelques études des comptes présentent que les réserves faites par les pontifes se étaient épuisées, habituellement en rachat d'immeubles autour des traditionnelles grandes églises, et dans le début de la construction de la paroisse. Celle-ci, n’étant plus alimentée que par des dons par ans et les excédents débarrassés par les ressources du secteur du pontife, perdait en vitesse donc.
À la mort de philippe le bel, en 1314, le domaine royal s'est déployé : il a englobé la champagne ; il possède le languedoc, le marquisat de provence ; il a l'auvergne et la bourgogne parmi ses provinces. Montpellier, carcassonne, narbonne, la capitale des gaules, exécutent dans leurs grandes églises des travaux considérables et essaient de
architecture médiéval
Ce sont les italiens de la renaissance qui ont désigné gotico flamboyant ce style originellement désigné francigenum opus ( ou opus modernum ) , mot à mot œuvre française, c’est-à-dire manière de bâtir en Île de france. Le mot médiéval est manifestement utilisé pour la 1er fois par l'artisan peintre raphaël vers 1518 dans un rapport à le souverain pontife léon x sur la conservation des bâtiments primitives : raphaël considère que les arcs en ogive de l'architecture gothique rapellent la courbure des arbres créant les cabanes antiques des citadins des espaces de verdures germaniques - une légende qui va revenir chez les romantiques - et fait référence, de façon impartial, à l'art moyenâgeux du ve siècle, désignant en revanche le francigenum opus médiéval sous le terme art tudesque1. Flamboyant est ensuite repris dans un sens négatif par le critique d'art giorgio vasari en 1530, faisant lui référence à le sac de rome par les sanguinaire goths. L'art flamboyant était ainsi le œuvre de barbares pour les italiens de la renaissance, car il aurait résulté de l'oubli des techniques et des canons esthétiques gréco-romains. L'art flamboyant a également été vivement critiqué par des auteurs français comme boileau, la bruyère ou jean-jacques rousseau, avant de devenir aménagés par des architectes comme francesco borromini ou jan blažej santini-aichel inventeur du style baroque médiéval
La plupart des archéologues et des homme d'histoires de l'art réfutent ce jugement et présentent que, vis à vis de l'architecture romane qui la devance, l'architecture moyenâgeux n’est pas tant une rupture qu'un changement.
L'architecture flamboyant se montre en Île-de-france et en haute picardie à le xiie siècle ; elle se propage rapidement à le nord de la loire, puis à le sud de la loire et en europe jusque en plein le xvie siècle et même jusque à le xviie siècle dans beaucoup de pays. La technique et le décoratif moyenâgeux se coninue dans l'architecture française au-delà du xvie siècle, dans la période classique, dans beaucoup de détails et modes de restructurations, et ensuite débarque un véritable regain avec la vague de l'historicisme à le xixe siècle, jusque à le début du xxe siècle : la forme fut qualifié de néo-gothique.
Son identité très forte est autant philosophique qu'architecturale. Elle représente probablement, de ces deux points de vue, l'un des principaux achèvements artistiques du moyen Âge.
Une église est un édifice religieux dont le but essentiel est de faciliter le rassemblement d'une communauté chrétienne. C’est le principal bâtiment de ce type de la paroisse dans la christianisme. Les édifices qualifiés de chapelles sont généralement privés, comme la chapelle d'un château fort, ou destinés à une communauté religieuse, entre autres un monastère. La paroisse consiste en un bâtiment dédié à la prière et à les pratiques commmunautaires des catholiques. Spécialement, la messe est, typiquement, dite dans une église par l'aumônier, dans le catholicisme et l'orthodoxie. Dans le protestantisme, le même bâtiment ayant la même utilité est d'un point de vu historique connu sous le nom du temple et non pas la paroisse, le terme se trouvant exclusivement gardé afin de nommer le société, ou bien la communauté des catholiques ( dans certaines cas exceptionnels, notamment dans le contexte luthérien gouvernemental, le terme église est exploité en vue de nommer un local ).
tournant
Depuis les origines et jusque à le xve siècle, dans tous les pays chrétiens, le local de la paroisse était adapté à une prière d'ensemble dirigée vers l'est. Car l'attente du soleil levant ( emblème du christ ressuscité ) est un trait essentiel de la prière et de la spiritualité chrétiennes. à présent cette culture est maintenue dans le Église d'orient. De même, le soleil signifie premièrement lumière et clarté inouï et d'après st eusèbe d'alexandrie, les catholiques jusque à le ve siècle avaient aimé dieu la figure tourné vers le soleil levant. Le soleil montant est bien entendu assez souvent comparé à un volatile. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le lever de la journée, et nos clochers chrétiens emportent encore cet oiseau qui représente la précaution de l'esprit en patientant la deuxième débarquée du christ, la naissance de l'imposante aurore1. Le coq étant généralement représenté avec les accessoires de la passion.