La paroisse du père paret : forum famille catholique





histoire des cathédrales en france
D'unité et de développement civile.

Les grandes cathédrales se élèvent à le bout du xiie siècle à sens noyon, laon, reims, amiens, saint-denis, le mans métropoles qui toutes avaient, les premières, donné le signal de l'affranchissement des communes; dans la ville-capitale du Île-de-france, centre du pouvoir monarchique, paris; à rouen, centre de la plus belle province conquise par philippe auguste; à liège, capitale de la principauté de liège.

À le décès de philippe-auguste, en 1223, les principales grandes églises -peu sont achevées- conçues en question royal étaient celles de sens, de paris, de chartres, de bourges, de noyon, de laon, de soissons, de meaux, d'amiens, d'arras, de cambrai, de rouen, de Évreux, de sées, de bayeux, de coutances, du mans, d'angers, de poitiers, de tours ; or tous ces diocèses avaient reconstruit leurs cathédrales, dont les réalisations étaient fort avancées. Si beaucoup de diocèses sont d'un point de vu politique unis à le domaine royal, et s'en reconnaissent vassaux, leurs cathédrales se élèvent rapidement sur des plans nouveaux, comme celles du territoire français; les diocèses de reims, de châlons, de troyes en champagne, sont les premiers à voir le déplacement. En bourgogne, ceux d'auxerre et de nevers, les plus proches du domaine royal, reconstruisent leurs cathédrales ; ceux d'autun et de langres, plus éloignés, entretiennent leurs traditionnelles paroisses élevées vers le centre du xiie siècle.
À le décès de charles v, en 1380, les anglo-saxon ne possèdent plus que bordeaux, le cotentin et calais ; mais la sève est fatiguée : les grandes églises dont la reconstruction n’a jamais été commencée pendant le xiiie siècle restent ce qu'elle étaient ; celles restées inachevées se terminent avec peine.






histoire du gotisme
Le style médiéval se montre essentiellement en haute picardie6 et en Île-de-france, les tous premiers édifices protogothiques naissant dans la région francilienne. La principale supposition pour expliquer ces lieux d'apparition francilien et picard est que sont ils exclusivement peuplés à cette époque de locaux paléochrétiens, notamment de grandes églises à parapets fins, charpentées et percées plusieurs baies. Ces zones sont donc déjà préparées à les éventail techniques et décoratifs du médiéval. De plus, elles assistent à l'arrivée des capétiens et la stabilisation du État qui, à mesure du rattachement des fiefs féodaux, impose comme signe du gouvernement royal le reconduction de ces locaux. Pour finir, elles sont au bord de zones énergiques à le niveau des inventions architecturales : la bourgogne , la normandie qui importe la voûte sur croisée d'ogives d'angleterre ( abbaye de jumièges, abbaye de lessay ). Endroit de passage, de brassage, la picardie et le Île-de-france assistent à les 1ers maîtres gothiques abréger toutes ces influences.





l'architecture récente

On qualifie de récentes les paroisses fabriqués sur le territoire français à partir des années 1920, à la suite des destructions de la 1ere guerre mondiale, spécialement. Les architectes recommencent l'objet, proposent des révolutions tout en veillant à le respect des normes liturgiques. Certaines paroisses sont sorties du mouvement d'urbanisation des métropoles, le Église catholique souhaitant que des édifices de cultes se trouvent à le plus près des populations : le Église notre-dame du raincy par auguste perret est l'une d'elles.

Dans les années 1960 les églises contemporaines correspondent d'une part à la reconquête catholique de leur situation géographique et des banlieues, d'autre part à la fin de la période des reconstructions.
Elles possèdent des signatures architecturales : le corbusier, claude parent, paul tournon. Elles oublient dans leur majorité des cas le relief de croix romaine. Siège du diocèse de Évry-corbeil, la cathédrale de la résurrection de Évry est l'unique à avoir été consacrée sur le territoire français à le xxe siècle.