Le père paret : saint christian
      
      
      
      
histoire des cathédrales en france
D'unité et de structuration civile.
L'alliance cléricale avec la monarchie ne s'attarda pas à inquiéter les barons ; saint louis admit bientôt que le pouvoir royal ne faisait que changer de maître. En 1235, l'aristocratie de france et le roi s'assemblèrent à saint-denis afin de restreindre la puissance que les tribunaux religieux se étaient arrogée. En 1246, les barons rédigèrent un pacte de fusion et nommèrent une prime des quatre plus performants parmis eux, en vue de décider dans quels cas le baronnage devait prendre fait et cause pour tout seigneur vexé par le clergé ; d'autre part, chaque seigneur avait promis à mettre en partage la centième partie de son retourné, en vue de poursuivre activement le but de l'union.
À la fin du xiiie siècle, les chantiers de ces grands constructions en retard sorties de terre n’arrivèrent pas à leur développement final ; ils s'arrêtèrent brusquement ; si les cathédrales furent achevées, ce ne fut plus que à l'aide des sacrifices personnels de pontifes ou de chapitres qui employèrent leurs propres biens pour terminer ce que la croyance et la fougue de toute une population avaient permis de démarrer. Rares sont les cathédrales qui aient été closes comme elles avaient été projetées ; et cela se comprend : le époque pendant laquelle leur vie est pour ainsi dire une nécessité impératif, le terme d'un désir implacable, est incluse entre les années 1180 et 1240. Soixante ans. Ce qui étonne maintenant, c’est qu'en un temps aussi court on ait pu acquérir, sur un territoire également vaste, des retombées aussi interloquants ; car ce n’était pas uniquement des tactiques qu'il a fallu découvrir, mais des milliers d'artistes qui, la plupart, étaient des hommes dont le talent dans l'exécution des ouvrages est pour nous à présent un domaine d'emballement.
architecture moyenâgeux
Ce sont les italiens de la renaissance qui ont nommé gotico flamboyant ce style à le départ nommé francigenum opus , texto œuvre française, c. -à-d. Façon de construire en Île de france. Le terme médiéval est semble-t-il utilisé pour la seule fois par le peintre raphaël vers 1518 dans un rapport à le chef du Église léon x sur le maintien des bâtiments primitives : raphaël estime que les arcs en ogive de l'architecture gothique rapellent la courbure des arbres créant les cabanes primitives des citadins des espaces de verdures germaniques - un mythe qui revenira chez les romantiques - et fait référence, de manière impartial, à l'art gothique du ve siècle, désignant en revanche le francigenum opus gothique sous le mot art tudesque1. Gothique est après repris dans un certain point de vue négatif par le critique d'art giorgio vasari en 1530, faisant lui référence à la sacoche de rome par les barbare goths. L'art gothique était ainsi le œuvre de barbares pour les italiens de la renaissance, car il aurait résulté de l'oubli des stratégiques et des canons esthétiques gréco-romains. L'art flamboyant a également été intensément critiqué par des auteurs français tels que boileau, la bruyère ou jean-jacques rousseau, avant de être réhabilité par des maître d'oeuvres comme francesco borromini ou jan blažej santini-aichel inventeur de la forme baroque moyenâgeux
L'architecture gothique apparaît en Île-de-france et en forte picardie à le xiie siècle ; elle se diffuse vite à le nord de la loire, et ensuite à le sud de la loire et en europe jusque à le beau milieu du xvie siècle et même jusque à le xviie siècle dans beaucoup de pays. La méthode et le décoratif gothique se perpétue dans l'architecture française par delà le xvie siècle, en pleine période traditionnelle, dans certains détails et usages de restructurations, et ensuite vient un vrai renouveau avec la vague de l'historicisme à le xixe siècle, jusque à le courant du xxe siècle : le style fut qualifié de néo-gothique.
Son identité particulièrement forte est aussi bien philosophique qu'architecturale. Elle décrit probablement, de ces 2 points de vue, l'un des principaux accomplissements esthétiques du moyen-Âge.
les fonctions des églises catholiques et orthodoxes
Selon son avantage et son rôle, en régime catholique romain, une église peut être :
- cathédrale ( adjectif et nom ) si elle est dotée d'une cathèdre, là où siège un pontife.
- primatiale si elle est siège d'un primat, prélat ayant une primauté sur les autres.
- basilique ( adjectif et nom )
- si elle est construite selon un plan à le primitive dit plan basilical.
- ou si elle a été réalisé par un empereur.
- ou si elle a perçu ce sujet spécial du souverain pontife de par sa fonction d'endroit de pèlerinage.
- collégiale si, sans être cathédrale, elle est desservie par un établissement scolaire ( le chapitre ) de chanoines séculiers.
- paroissiale ( adjectif uniquement ) si elle est le siège d'une communauté de chrétiens.
- abbatiale si elle est la paroisse primordiale d'une abbaye.
- priorale si elle est le église d'un prieuré.
Dans le monde orthodoxe oriental :
- une métropole est une cathédrale.
- un catholicon est le église principale d'un monastère cénobitique oriental.
- un kyriakon est la paroisse primordiale d'une skite ou d'une laure.
- la principale église d'une agglomération, si elle n’est pas cathédrale, est nommée en grèce katholiki sans rapport avec la religion catholique romain.
- le terme générique désignant l'ou les saint au quel la paroisse est dédiée est le vocabulaire ou la dédicace.