La paroisse du père paret : christian pierret
but et origine des cathédrales
Le terme a pour origine le mot français cathèdre, qui vient lui-même du grec , voulant dire siège, donc trône épiscopal. En ancien français, on voit le verbe cathédrer et le participe cathédrant, qui veulent dire siéger et siégeant dans les écritures de montaignecitation nécessaire. Le mot cathédrale tout seul était premièrement un adjectif avant de devenir un nom à le xviie siècle.
Dans les églises antiques, le trône du évêque, la cathèdre ( cathedra en latin ) était placée à le fond de l'abside, dans l'axe, comme le siège du magistrat de la basilique antique, et l'autel se levait de l'avant de la tribune, ordinairement sur la pierre tombale d'un martyr. Le prélat, entouré de son clergé, se plaçait donc de l'autre coté de l'autel, seul et dépourvu de retable ; il assistait à ainsi l'officiant en face. Cet arrangement antique explique pourquoi, jusque à le secteur du dernier siècle du moyen Âge, dans quelques grandes églises, le maître-autel n’était qu'une table sans gradins, tabernacles ni retables.
Une église est un édifice religieux dont le but essentiel est de simplifier le regroupement d'une communauté chrétienne. Il s'agit de l'essentiel édifice de ce type du église dans la christianisme. Les locaux nommés chapelles sont fréquemment personnels, comme la chapelle d'un château fort, ou destinés à une communauté religieuse, par exemple un monastère. La paroisse réside dans un local consacré à la prière et à les pratiques commmunautaires des chrétiens. Particulièrement, la messe est, typiquement, dite dans une paroisse par le prêtre, dans le culte catholique et le culte orthodoxe. Dans le protestantisme, le même bâtiment ayant la même utilité est d'un point de vu historique appelé le temple et non pas le église, le mot ( Église avec majuscule ) étant exclusivement retenu afin de désigner l'entreprise, ou bien la communauté des chrétiens.
tournant
Depuis le point de départ et jusque à le xve siècle, dans tous les pays chrétiens, le bâtiment du église était adéquat à une prière communautaire dirigée vers l'est. Car l'attente du soleil levant ( symbole du christ ressuscité ) est un trait principal de la prière et de la spiritualité chrétiennes. Actuellement cette tradition est maintenue dans le Église d'orient. De même, le soleil veut dire premièrement clarté et lumière suprême (. . . ) et d'après saint eusèbe d'alexandrie, les chrétiens jusque à le ve siècle aimaient dieu le visage tourné vers le soleil levant. Le soleil montant est d'ailleurs relativement souvent comparé à un volatile. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le lever de la journée, et nos clochers chrétiens emportent encore ce volatile qui représente la vigilance de l'esprit en patientant la seconde débarquée du christ, la naissance de la grande aurore1. Le coq est d'ailleurs généralement représenté grâce à les instruments de la passion.