Le père paret : amitie chretienne




but et origine des grandes églises
Le terme a pour racine le mot français cathèdre, qui arrive lui-même du grec , voulant dire siège, donc trône épiscopal. En ancien français, on voit le verbe cathédrer et le participe cathédrant, qui veulent dire siéger et siégeant dans les écritures de montaignecitation nécessaire. Le mot cathédrale lui-même était premièrement un adjectif avant de devenir un nom à le xviie siècle.
Dans les paroisses antiques, le trône du prélat, la cathèdre ( cathedra en latin ) était mise à l'extrémité de l'abside, dans l'axe, comme l'administration du juge de la basilique antique, et l'autel se élevait de l'avant de la tribune, ordinairement sur la pierre tombale d'un martyr. Le pontife, entouré de son clergé, se plaçait donc de l'autre coté de l'autel, seul et dépourvu de retable ; il voyait donc l'officiant en face. Cette disposition antique explique pourquoi, jusque à le milieu du dernier siècle du moyen Âge, dans quelques cathédrales, le maître-autel n’était qu'une table sans gradins, tabernacles ni retables.





décoratif architectural médiéval

Même s'il est habituel de présenter l'architecture gothique par l'usage de l'arc brisé ( l'ogive des vieux antiquaires ) , on ne saurait réduire un type architectural juste, ou tout autre art, à des caractéristiques spécifiques. Confronter le roman à le flamboyant par l'utilisation du plein cintre ou qui était l'ogive est illogique et ne fait pas sens d'un point de vu historique.









tournant
Depuis le point de départ et jusque à le xve siècle, dans toute l'europe chrétiens, le local du église était propre à une prière d'ensemble dirigée vers l'est ( c’est ce qu'on a appelé la direction — c’est là la racine de ce mot ). Car l'attente du soleil levant ( emblème du christ ressuscité ) est un trait essentiel de la prière et de la spiritualité chrétiennes. à présent cette culture est gardée dans le Église d'orient. De même, le soleil veut dire d'abord clarté et clarté démesuré (. . . ) et selon st eusèbe d'alexandrie, les catholiques jusque à le ve siècle chérissaient dieu la figure tourné vers le soleil levant. Le soleil montant est d'ailleurs assez régulièrement comparé à un oiseau. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le soulever de la journée, et nos clochers chrétiens emportent encore ce volatile qui incarne l'attention du âme en attendant la seconde venue du christ, la naissance de la grande aurore1. Le coq est d'ailleurs fréquemment représenté grâce à les accessoires de la passion.