La paroisse du père paret : chants messe catholique
histoire des grandes églises en france
D'unité et de développement civile.
L'alliance cléricale avec la monarchie ne s'attarda pas à contrarier les barons ; saint louis reconnut prochainement que le pouvoir royal ne faisait que changer de maître. En 1235, l'aristocratie de france et le roi se réunissèrent à saint-denis afin de limiter la force que les tribunaux religieux se étaient arrogée. En 1246, les barons rédigèrent un traité d'union et désignèrent une prime des quatre plus performants parmis eux, afin de décider dans quels cas le baronnage devait prendre fait et cause pour tout seigneur vexé par les religieux ; d'autre part, chaque seigneur donnait parole à partager la centième partie de son revenu, afin de continuer sérieusement le but de la fusion.
Hors du domaine du roi, la circulation n’existe pas, et ce n’est qu'après, dans les alentours du xiiie siècle, quand la monarchie eut approximativement rassemblé toutes les provinces des gaules à la couronne, que l'on entreprend la reconstruction des grandes églises. C’est alors que certaines diocèses subrogent leurs anciens édifices par des batiments neufs élevées sur des plans sortis du domaine royal. Mais ce mouvement est restreint, hésitant, et il s'arrête prochainement par suite du fil à retordre politiques du xive siècle.
À le décès de philippe le bel, en 1314, le domaine du roi s'est déployé : il a englobé la champagne ; il possède le languedoc, le marquisat de provence ; il a l'auvergne et la bourgogne à le sein de ses provinces. Montpellier, carcassonne, narbonne, lyon, exécutent dans leurs cathédrales du chantier colossals et essaient de
architecture moyenâgeux
Ce sont les italiens de la renaissance qui ont nommé gotico flamboyant ce style à l'origine nommé francigenum opus , mot à mot œuvre française, c’est-à-dire manière de construire en Île de france. Le mot gothique est visiblement exploité pour la 1er fois par l'artisan peintre raphaël vers 1518 dans un bilan à le chef du Église léon x sur la conservation des locaux antiques : raphaël considère que les arcs en ogive architectural moyenâgeux rapellent le galbe des arbres formant les cabanes antiques des citadins des espaces verts d'allemagne - une légende qui refera surface chez les romantiques - et fait référence, de manière impartial, à l'art flamboyant du ve siècle, désignant en revanche le francigenum opus gothique sous le terme art tudesque1. Moyenâgeux est ensuite réutilisé dans un sens péjoratif par le critique d'art giorgio vasari en 1530, effectuant lui référence à le sac de rome par les barbare goths. L'art gothique était donc le œuvre de barbares pour les italiens de la renaissance, car il aurait résulté de l'oubli des techniques et des beautés esthétiques gréco-romains. L'art médiéval a également été fortement critiqué par des auteurs français comme boileau, la bruyère ou jean-jacques rousseau, avant de devenir aménagés par des maître d'oeuvres comme francesco borromini ou jan blažej santini-aichel inventeur du type baroque médiéval
L'architecture gothique se montre en Île-de-france et en haute picardie à le xiie siècle ; elle se répand rapidement à le nord de la loire, et ensuite à le sud de la loire et en europe jusque en plein le xvie siècle et même jusque à le xviie siècle dans beaucoup de pays. La méthode et le décoratif gothique se perpétue dans l'architecture française par delà le xvie siècle, en pleine période classique, dans certains détails et modes de restructurations, et ensuite débarque un véritable renouveau avec la vague de l'historicisme à le xixe siècle, jusque à le début du xxe siècle : le style fut qualifié de néo-gothique.
Son identité grande est aussi bien philosophique qu'architecturale. Elle décrit a priori, de ces 2 visions, l'un des principaux achèvements esthétiques du moyen Âge.
endroit de construction
Les premières paroisses, à le temps de la clandestinité, c’est-à-dire avant l'ive siècle, étaient des maison-églises, c. -à-d. Une pièce destinée dans le pavillon d'un richissime chrétien. Quelquefois, des catacombes, lorsque elles débutèrent à être réalisées, notamment à rome.
Habituellement, lorsque on avait décidé de fabriquer une église :
On optait pour un saint patron de ce édifice ( le saint protecteur ) ; ce choix était souvent le fait du patron temporel de la paroisse, sur le domaine duquel le église allait être construite : le prélat, un propriétaire, et des monastères ;
Pour les plus grandes églises, à le travers du centre du moyen-Âge, à le lieu qui serait la croisée des transepts, on plantait un imposant mât ; à le lever du soleil, la journée de la fête du saint patron ( si cette fête se célébrait avant le 21 juin ) ; sinon, à le coucher du soleil, la journée de cette même fête ( si cette fête se célébrait après le solstice de été ) , on notait l'ombre portée par le mât : la direction de cette ombre définissait le pivot est-ouest, nommé decumanus chez les romains. D'autres opérations allaient suivre ; tracé du cercle dans lequel s'inscriraient les 4 piliers du transept, tracé du cercle définissant l'asil, signification de la nef.