Le père paret : femmes chretiennes
histoire des cathédrales en france
D'unité et de développement civile.
Au milieu de ces périls, par sa conduite à la croyances clôture et prudente, le roi sut retenir les prétentions cléricale dans du plafond avantageux à son pouvoir, et faire prévaloir l'autorité du roi sur la féodalité. À partir de cette époque nous assistons à ces mise en places se ralentir, ou se clore en vitesse, à moins vaste échelle, et s'atrophier pour ainsi dire. Les quelques études des opérations présentent que les réserves faites par les prélats se étaient épuisées, souvent en rachat de logements à l'alentour des traditionnelles grandes églises, et dans le début de la fabrication de la paroisse. Celle-ci, n’étant plus nourrie que par des dons annuels et les excédents débarrassés par les moyens du secteur du prélat, perdait en vitesse donc.
À l'aboutissement du xiiie siècle, les travaux de ces vastes mise en places en retard sorties de terre n’arrivèrent pas à leur développement final ; ils s'arrêtèrent brusquement ; si les cathédrales furent terminées, ce ne fut plus que à l'aide des sacrifices personnels de prélats ou de chapitres qui employèrent leurs propres biens afin de clore ce que la foi et l'emportement de toute une population avaient permis de démarrer. Raréfiés sont les cathédrales qui aient été closes comme elles avaient été projetées ; et c’est logique : la période durant laquelle leur vie est en quelque sorte une nécessité impérieux, le terme d'un désir implacable, est comprise entre les années 1180 et 1240. Soixante ans. Ce qui étonne maintenant, c’est qu'en un temps aussi petit on ait pu acquérir, sur un territoire aussi grand, des résultats aussi surprenants ; car ce n’était pas uniquement des manœuvres qu'il a fallu trouver, mais des milliers d'artistes qui, la majorité, étaient des hommes dont le talent dans l'exécution des œuvres est pour nous actuellement un thème d'engouement.
En dehors du domaine royal, le mouvement n’est pas, et ce n’est que plus tard, vers la fin du xiiie siècle, quand la royauté eut à peu près réuni les différentes provinces des gaules à la couronne, que l'on entreprend la reconstruction des cathédrales. C’est alors que quelques diocèses subrogent leurs anciens édifices par des résidence neuves élevées sur des plans sortis du domaine royal. Mais ce mouvement est restreint, timide, et il s'arrête bientôt par suite du fil à retordre politiques du xive siècle.
histoire du gotisme
La forme médiéval se montre principalement en forte picardie6 et en Île-de-france, les tous premiers locaux protogothiques venant à le monde dans la région francilienne. La plus grande supposition afin d'expliquer ces lieux de naissance francilien et picard est qu'il sont fondamentalement peuplés à cette période de locaux paléochrétiens, notamment de cathédrales à parapets fins, charpentées et percées de nombreuses baies. Ces secteurs sont donc déjà préparées à les choix stratégiques et décoratifs du moyenâgeux. De plus, elles assistent à l'apparition des capétiens et la consolidation du État qui, à mesure de l'annexion des fiefs féodaux, impose comme symbole du pouvoir royal le renouvellement de ces monuments. Pour conclure, elles sont à la frontière de domaines énergiques à le niveau des inventions architecturales : la bourgogne ( arc brisé inventé à l'abbaye de cluny, arc-boutants inventés à cluny et vézelay ) , la normandie qui fait venir la voûte sur croisée d'ogives d'angleterre. Lieu de passage, de brassage, la picardie et le Île-de-france voient les 1ers maîtres moyenâgeuxs résumer toutes ces influences.
l'architecture contemporaine
On qualifie de modernes les églises fabriqués en france à partir des années 1920, après les destructions de la 1ere guerre mondiale, spécialement. Les architectes réitèrent le sujet, suggèrent des changements tout en prenant soin du respect des règles cléricales. Quelques églises sont issues du déplacement d'urbanisation des métropoles, le Église catholique voulant que des bâtiments de pières soient à le plus près des groupes de populations : le Église notre-dame du raincy par auguste perret est l'une d'entre elles.
À partir des années 1950, après les démolitions de la deuxième guerre mondiale, plus importantes, la restructuration de édifices va suivre le mouvement liturgique qui précède le concile vatican ii et placer beaucoup de nouveautés, particulièrement sur le territoire français et en allemagne, nations méchamment touchées. La revue de l'art sacré s'en fera notamment un écho minutieux.