Le père paret : genie du christianisme





histoire des cathédrales sur le territoire français
D'unité et de structuration civile.

Au secteur de ces risques, par sa conduite à la croyances ferme et attentife, le roi sut retenir les prétentions du clergé dans du maximum favorables à son pouvoir, et faire prévaloir l'autorité du roi sur la féodalité. À partir de cette période nous voyons ces réalisations se ralentir, ou s'achever en vitesse, à moins grand échelle, et s'atrophier pour ainsi dire. Les quelques études des opérations présentent que les réserves faites par les prélats se étaient vidées, généralement en rachat de logements à l'alentour des traditionnelles grandes églises, et dans le lancement de la fabrication de la paroisse. Celle-la, n’se trouvant plus nourrie que par des dons par ans et les excédents débarrassés par les moyens du monde du pontife, perdait en vitesse donc.

À le décès de philippe-auguste, en 1223, les plus importantes grandes églises -peu sont achevées- saisies dans le domaine royal étaient celles de sens, de paris, de chartres, de bourges, de noyon, de laon, de soissons, de meaux, d'amiens, d'arras, de cambrai, de rouen, de Évreux, de sées, de bayeux, de coutances, du mans, d'angers, de poitiers, de tours ; or tous ces diocèses avaient reconstruit leurs cathédrales, dont les réalisations étaient très avancées. Si certains diocèses sont politiquement épousés à le domaine du roi, et s'en reconnaissent vassaux, leurs cathédrales se élèvent vite sur des plans nouveaux, comme celles du territoire français; les paroisses de reims, de châlons, de troyes en champagne, sont les 1ers à suivre le mouvement. En bourgogne, ceux d'auxerre et de nevers, les plus rapprochés du domaine du roi, reconstruisent leurs grandes églises ; ceux d'autun et de langres, plus espacés, entretiennent leurs anciennes églises élevées vers le centre du xiie siècle.











orientation
Depuis les origines et jusque à le xve siècle, dans toute l'europe chrétiens, le bâtiment de la paroisse était propre à une prière communautaire dirigée vers l'est ( c’est ce qu'on a connu sous le nom de l'orientation — c’est là la racine de ce terme ). Car l'attente du soleil levant est un trait essentiel de la prière et de la spiritualité chrétiennes. Maintenant cette tradition est gardée dans le Église d'orient. De même, le soleil signifie d'abord lumière et clarté inouï et d'après saint eusèbe d'alexandrie, les catholiques jusque à le ve siècle chérissaient dieu le visage tourné vers le soleil levant. Le soleil montant étant relativement souvent comparé à un oiseau. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le soulever du jour, et nos clochers chrétiens emportent encore cet oiseau qui incarne la précaution du âme en patientant la seconde débarquée du christ, l'apparition de la grande aurore1. Le coq étant souvent montré avec les accessoires de la passion.