Le père paret : christian bobin bibliographie





histoire des cathédrales en france
D'unité et de structuration civile.

À l'aboutissement du xiiie siècle, les chantiers de ces grands mise en places tardivement sorties de terre n’arrivèrent pas à leur structuration final ; ils se éteignirent tout d'un coup ; si les grandes églises furent terminées, ce ne fut plus que à l'aide des sacrifices personnels de prélats ou de chapitres qui employèrent leurs propres biens pour terminer ce que la foi et la fougue de tout un peuple avaient permis de démarrer. Rares sont les grandes églises qui aient été finies telles qu'elles avaient été projetées ; et cela se comprend : le époque pendant laquelle leur quotidien est en quelque sorte une nécessité impératif, le terme d'un souhait implacable, est comprise entre les années 1180 et 1240. 60 ans. Ce qui étonne à présent, c’est qu'en un temps aussi court on ait pu acquérir, sur un territoire aussi grand, des retombées également étonnants ; car ce n’était pas uniquement des manœuvres qu'il fallait trouver, mais des milliers d'artistes qui, la majorité, étaient des individus dont l'aptitude dans l'exécution des ouvrages est pour nous aujourd'hui un sujet d'emballement.

Hors du domaine royal, la circulation n’est pas, et ce n’est qu'après, vers la fin du xiiie siècle, lorsque la monarchie eut à peu près réuni toutes les provinces des gaules à la couronne, que l'on entreprend la reconstruction des cathédrales. C’est alors que certaines diocèses substituent leurs vieux locaux par des constructions récentes élevées sur des plans sortis du domaine du roi. Mais ce mouvement est limite, hésitant, et il s'arrête bientôt par suite du fil à retordre politiques du xive siècle.
À le décès de charles v, en 1380, les anglo-saxon ne détiennent plus que bordeaux, le cotentin et calais ; mais la sève est fatiguée : les grandes églises dont la restructuration n’a jamais été démarrée durant tout le xiiie siècle restent ce qu'elle étaient ; celles restées inachevées se terminent avec peine.






Une église est un local clérical dont le rôle essentiel est de simplifier le regroupement d'une communauté chrétienne. C’est le principal édifice de ce modèle du le église dans la christianisme. Les locaux nommés chapelles sont habituellement privés, telque la chapelle d'un château fort, ou réservés à une communauté cléricale, par exemple une abbaye. Le église consiste en un bâtiment dédié à la prière et à les pratiques culturelles des catholiques. Spécialement, la messe est, par exemple, dite dans une église par l'aumônier, dans le catholicisme et le culte orthodoxe. Dans le protestantisme, le même bâtiment ayant la même utilité est historiquement connu sous le nom du temple et non pas le église, le terme ( Église avec majuscule ) étant principalement gardé pour désigner l'institution, ou alors la communauté des chrétiens.




tournant
Depuis les origines et jusque à le xve siècle, dans tous les pays chrétiens, le édifice du église était adéquat à une prière communautaire dirigée vers l'est ( c’est ce qu'on a connu sous le nom de la direction — il s'agit là de la racine de ce terme ). Car l'attente du soleil levant est un trait essentiel de la prière et de la spiritualité chrétiennes. Maintenant cette tradition est gardée dans le Église d'orient. De même, le soleil veut dire premièrement clarté et clarté suprême (. . . ) et selon saint eusèbe d'alexandrie, les catholiques jusque à le ve siècle aimaient dieu la figure tourné vers le soleil levant. Le soleil montant est d'ailleurs relativement souvent comparé à un oiseau. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le soulever de la journée, et nos clochers chrétiens emportent encore ce volatile qui incarne l'attention de l'esprit en attendant la deuxième venue du christ, la naissance de la grande aurore1. Le coq est bien entendu souvent représenté avec les accessoires de la passion.