La paroisse du père paret : christian jacq bibliographie





histoire des grandes églises sur le territoire français
D'unité et de développement civile.

Les imposantes cathédrales se élèvent à la fin du xiie siècle à sens noyon, laon, reims, amiens, saint-denis, le mans villes qui toutes avaient, les premières, signalé l'affranchissement des communes; dans la ville-capitale du Île-de-france, centre du pouvoir monarchique, paris; à rouen, cœur de la meilleur province conquise par philippe auguste; à liège, capitale de la commune princiaire de liège.
L'alliance cléricale avec la monarchie ne tarda pas à préoccuper les barons ; saint louis admit prochainement que le pouvoir royal ne faisait que changer de maître. En 1235, l'aristocratie de france et le roi s'assemblèrent à saint-denis en vue de réduire la force que les tribunaux ecclésiastiques se étaient arrogée. En 1246, les barons rédigèrent un pacte d'union et nommèrent une commission des quatre plus puissants d'entre eux, en vue de choisir dans quels cas le baronnage devait prendre fait et cause pour tout seigneur vexé par le clergé ; d'autre part, chaque seigneur se était engagé à mettre en commun la centième partie de son retourné, afin de poursuivre activement la mission de l'union.
Au milieu de ces risques, par sa conduite à la croyances clôture et attentife, le roi sut contenir les prétentions cléricale dans des limites favorables à son pouvoir, et faire prévaloir l'autorité du roi sur la féodalité. À partir de cette période nous assistons à ces réalisations se ralentir, ou se clore en vitesse, à moins grand échelle, et s'atrophier en quelque sorte. Les rares analyses des opérations présentent que les réserves faites par les pontifes se étaient vidées, souvent en rachat d'immeubles à l'alentour des traditionnelles grandes églises, et dans le lancement de la construction de la paroisse. Celle-ci, n’se trouvant plus nourrie que par des dons annuels et les excédents débarrassés par les ressources du monde du pontife, ralentissait donc.




architecture moyenâgeux
Ce sont les italiens de la renaissance qui ont désigné gotico flamboyant ce style à le départ nommé francigenum opus , texto œuvre française, c’est-à-dire manière de bâtir en Île de france. Le mot médiéval est semble-t-il exploité pour la seule fois par l'artisan peintre raphaël vers 1518 dans un rapport à le chef du Église léon x sur le maintien des monuments primitives : raphaël considère que les arcs en ogive architectural flamboyant rapellent le galbe des arbres formant les cabanes primitives des citadins des forêts germaniques - un mythe qui revenira chez les romantiques - et fait référence, de façon impartial, à l'art moyenâgeux du ve siècle, nommant par contre le francigenum opus gothique sous le terme art tudesque1. Gothique est après réutilisé dans un sens négatif par le critique d'art giorgio vasari en 1530, effectuant lui référence à la sacoche de rome par les sanguinaire goths. L'art médiéval était ainsi le œuvre de sanguinaires pour les italiens de la renaissance, car il aurait résulté de l'oubli des techniques et des canons esthétiques gréco-romains. L'art gothique a également été fortement critiqué par des auteurs français comme boileau, la bruyère ou jean-jacques rousseau, avant de être aménagés par des architectes comme francesco borromini ou jan blažej santini-aichel inventeur du style baroque médiéval









tournant
Depuis le point de départ et jusque à le xve siècle, dans tous les pays chrétiens, le édifice de la paroisse était adapté à une prière collectif dirigée vers l'est ( c’est ce qu'on a nommé la direction — il s'agit là de l'origine de ce mot ). Car l'attente du soleil levant est un trait essentiel de la prière et de la spiritualité chrétiennes. à présent cette tradition est gardée dans le Église d'orient. De même, le soleil signifie premièrement clarté et clarté inouï et selon st eusèbe d'alexandrie, les chrétiens jusque à le ve siècle chérissaient dieu la figure orienté vers le soleil levant. Le soleil montant étant très fréquemment comparé à un volatile. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le soulever du jour, et nos clochers chrétiens emportent encore ce volatile qui constitue la précaution du âme en attendant la deuxième débarquée du christ, l'apparition de l'imposante aurore1. Le coq est bien entendu communément montré grâce à les instruments de la passion.