Le père paret : chanson catholique
histoire des grandes églises en france
D'unité et de constitution civile.
L'alliance du clergé avec le roi ne tarda pas à inquiéter les barons ; saint louis reconnut prochainement que le pouvoir royal ne faisait que changer de maître. En 1235, l'aristocratie de france et le roi se réunissèrent à saint-denis en vue de restreindre la puissance que les tribunaux ecclésiastiques se étaient arrogée. En 1246, les barons rédigèrent un traité d'union et nommèrent une prime des 4 plus performants d'entre eux, en vue de choisir dans quels cas le baronnage devait prendre fait et cause pour tout seigneur vexé par le clergé ; de plus, chaque seigneur se était engagé à partager la centième partie de son revenu, pour continuer sérieusement la mission de l'union.
Au secteur de ces dangers, par son comportement à la croyances ferme et attentife, le roi sut contenir les prétentions cléricale dans du maximum favorables à son pouvoir, et faire prévaloir le pouvoir monarchique sur la féodalité. Dès cette époque nous assistons à ces réalisations se ralentir, ou se clore en se dépêchant, à moins grand échelle, et s'atrophier pour ainsi dire. Les rares analyses des opérations présentent que les réserves faites par les pontifes se étaient épuisées, généralement en rachat d'immeubles à l'alentour des traditionnelles cathédrales, et dans le lancement de la fabrication de la paroisse. Celle-ci, n’se trouvant plus alimentée que par des dons par ans et les excédents dégagés par les moyens du secteur du prélat, ralentissait donc.
À le décès de philippe-auguste, en 1223, les plus importantes grandes églises -peu sont achevées- comprises en question royal étaient celles de sens, de paris, de chartres, de bourges, de noyon, de laon, de soissons, de meaux, d'amiens, d'arras, de cambrai, de rouen, de Évreux, de sées, de bayeux, de coutances, du mans, d'angers, de poitiers, de tours ; or tous ces diocèses avaient rebâti leurs cathédrales, dont les constructions étaient très avancées. Si certains diocèses sont politiquement épousés à le domaine royal, et s'en admettent vassaux, leurs cathédrales se élèvent vite sur des plans nouveaux, comme celles du territoire français; les diocèses de reims, de châlons, de troyes en champagne, sont les premiers à suivre le mouvement. En bourgogne, ceux d'auxerre et de nevers, les plus proches du domaine royal, reconstruisent leurs cathédrales ; ceux d'autun et de langres, plus éloignés, entretiennent leurs anciennes églises élevées vers le milieu du xiie siècle.
À le décès de charles v, en 1380, les anglais ne détiennent plus que bordeaux, le cotentin et calais ; mais la résine est fatiguée : les cathédrales dont la restructuration n’a pas été démarrée pendant tout le xiiie siècle demeurent ce qu'elle étaient ; celles demeurées pas terminées s'achèvent avec difficulté.
l'art médiéval
Il s'admet par l'emploi de l'arc brisé, dont la clef de voûte forme un angle entre les deux arcs qui la constituent. Il a surtout été exploité pour la reconstruction des cathédrales.
Son apparence est plus fin et élancé, à l'aide de l'emploi d'arcs boutants, qui permettent de reporter l'accroissement loin des muretins, qui sont dans ce cas évidés pour faire place à de larges baies. Les façades s'ornent dans ce cas de sublimes vitraux comme à la sainte chapelle, ou dans la cathédrale de beauvais, plus haute clef de voûte gothique, avec 48 m définie par sa forme en croix grecque ( le transept et la nef possèdent la même longueur ).