Le père paret : histoire du catholicisme




conversion des paroisses
à la suite des défauts de ressources financiers ou alors pour des motifs politiques, les églises sont quelquefois réhabilités en locaux avec des fonctions divers ou pour un autre culte, on peut calculer des exemples impressionnantes de église convertie en sanctuaire musulman en bulgarie durant la découverte ottomane et en bibliothèque ou studio ou appartement à le québec.



architecture médiéval
Ce sont les italiens de la renaissance qui ont désigné gotico moyenâgeux ce style à l'origine désigné francigenum opus , texto œuvre française, c. A. D. Manière de bâtir en Île de france. Le terme flamboyant est manifestement utilisé pour la seule fois par l'artisan peintre raphaël vers 1518 dans un compte rendu à le chef du Église léon x sur le maintien des édifices antiques : raphaël considère que les arcs en ogive architectural flamboyant rapellent la courbure des arbres réalisant les cabanes primitives des citadins des espaces verts allemandes - une légende qui revenira chez les romantiques - et fait référence, de façon neutre, à l'art moyenâgeux du ve siècle, désignant par contre le francigenum opus gothique sous le mot art tudesque1. Médiéval est ensuite repris dans un sens péjoratif par le critique d'art giorgio vasari en 1530, effectuant lui référence à le sac de rome par les barbare goths. L'art flamboyant était donc le œuvre de sanguinaires pour les italiens de la renaissance, car il aurait résulté de l'oubli des stratégiques et des canons esthétiques gréco-romains. L'art moyenâgeux a également été vivement critiqué par des auteurs français tels que boileau, la bruyère ou jean-jacques rousseau, avant de devenir aménagés par des maître d'oeuvres comme francesco borromini ou jan blažej santini-aichel inventeur de la forme baroque flamboyant


L'architecture flamboyant apparaît en Île-de-france et en haute picardie à le xiie siècle ; elle se diffuse vite à le nord de la loire, et ensuite à le sud de la loire et en europe jusque à le milieu du xvie siècle et même jusque à le xviie siècle dans beaucoup de pays. La technique et le décoratif flamboyant se coninue dans l'architecture française par delà le xvie siècle, dans la période classique, dans beaucoup de détails et habitudes de restructurations, puis vient un véritable regain avec la vague de l'historicisme à le xixe siècle, jusque à le courant du xxe siècle : la forme fut nommé néo-gothique.
Son identité particulièrement grande est aussi bien philosophique qu'architecturale. Elle décrit a priori, de ces deux points de vue, l'un des plus grands accomplissements artistiques du moyen-âge.





endroit de mise en place
Les premières églises, à le temps de la clandestinité, c-à-d avant l'ive siècle, étaient des maison-églises, c’est-à-dire une pièce destinée dans le pavillon d'un richissime chrétien. Parfois, des catacombes, quand-t-elles débutèrent à être réalisées, particulièrement à rome.

Traditionnellement, lorsque on statuait de fabriquer une paroisse :
On avait choisi un saint protecteur de ce bâtiment ; cet assortiment était fréquemment le principe du patron temporel de la paroisse, sur l'activité duquel la paroisse allait être construite : le évêque, un propriétaire, et des abbayes ;
Pour les plus imposantes églises, à partir du milieu du moyen-Âge, à l'emplacement qui serait la croisée des transepts, on plantait un imposant mât ; à l'aube, la journée de la fête du saint patron ( si cette fête se célébrait avant le 21 juin ) ; sinon, en soirée, le jour de cette même fête ( si cette fête se célébrait après le 21 juin ) , on notait l'ombre portée par le mât : la direction de cette ombre définissait l'axe est-ouest, nommé decumanus chez les romains. D'autres travaux allaient suivre ; retracé du cercle dans lequel s'inscriraient les 4 piliers du transept, tracé du cercle définissant le refuge, définition de la nef.