Le père paret : christian duguay
l'avenir des églises sur le territoire français
à défaut d'un entretien satisfaisant de la part des mairies qui en ont la charge, plusieurs milliers de églises sur les 40000 que compte la france encourent un risque important de devenir rasées dans les années à venir. Il faut remarquer que les villages n’ont pas toujours les moyens financiers d'entretenir leur paroisse, même si elle n’est pas conséquente. De même, quelques grandes métropoles qui comptent les dizaines de très beaux bâtiments, ne peuvent en général garantir seules l'entretien et les travaux. La france est l'une des nations qui dénombre le plus grand nombre de locaux clérical, et c’est de façon globale que le coût de rénovation est particulièrement important. Cet incident s'applique de la même manière à le grand nombre de châteaux.
emplacement de construction
Les premières églises, à le temps de la clandestinité, c. A. D. Avant l'ive siècle, étaient des maison-églises, c-à-d une pièce destinée dans la maison d'un millionnaire chrétien. Parfois, des ossuaires, quand-t-elles démarrèrent à être réalisées, notamment à rome.
Dans les villes romaines, à la suite de la chute des croyances polythéistes, les prélats s'efforcèrent de faire les endroits de pières à le christ à l'endroit de temples ou de fana. Dans les meilleurs domaines fonciers, les chapelles devinrent peu à peu des paroisses paroissiales.
Habituellement, lorsque on avait statué de fabriquer une église :
On optait pour un saint protecteur de ce édifice ( le saint patron ) ; ce éventail était fréquemment le fait du patron temporel du église, sur le secteur duquel la paroisse allait être fabriqué : le évêque, un propriétaire, et des abbayes ;
Pour les plus imposantes églises, à le travers du centre du moyen-âge, à l'emplacement qui serait la croisée des transepts, on plantait un grand mât ; à l'aube, la journée de la fête du saint protecteur ( si cette fête se célébrait avant le 21 juin ) ; sinon, à le coucher du soleil, la journée de cette même fête , on notait l'ombre portée par le mât : l'orientation de cette ombre définissait le pôle est-ouest, appelé decumanus chez les romains. D'autres travaux allaient accompagner ; retracé du cercle dans lequel s'inscriraient les quatre piliers du transept, tracé du cercle définissant le sanctuaire, signification de la nef.