La paroisse du père paret : chant liturgique catholique
l'organisation des cathédrales en france
Le dispositif du 17 avril 1906 et le décret du 4 juil 1912 ont confié la charge des 87 grandes églises à le secrétariat de État à les beaux-arts, devenu ministère de la culture et de la médiatisation. Cette propriété se étend à l'ensemble des dépendances de location d'appartements et à l'ensemble des immeubles par destination et des meubles les garnissant. Le cadre judiciaire de l'agencement intérieur des cathédrales fut étudié par pierre-laurent frier, professeur à les études supérieurs de la capitale i ( panthéon-sorbonne ) , vieux directeur des études du École nationale du patrimoine3 ; et la compétence du conseil municipal concernant les paroisses et à les biens qui y ont été mis en place fut traitée par marie-christine rouault, doyen de la faculté des sciences réglementaires, politiques et humaines de lille ii4 à le travers de l'arrêt du 4 novembre 1994 du conseil de État.
histoire du gotisme
Le style flamboyant se montre essentiellement en haute picardie6 et en Île-de-france, les tous 1ers locaux protogothiques venant à le monde dans la région francilienne. La plus grande hypothèse pour expliquer ces lieux de naissance francilien et picard est que sont ils essentiellement peuplés à cette époque de monuments paléochrétiens, spécialement de cathédrales à muretins achèvements, charpentées et percées de nombreuses baies. Ces domaines sont ainsi déjà préparées à les choix stratégiques et décoratifs du médiéval. De plus, elles voient l'arrivée des capétiens et la consolidation du État qui, à mesure du rattachement des fiefs féodaux, impose comme symbole du pouvoir royal le reconduction de ces monuments. Pour finir, elles sont à la limite de domaines énergiques à le niveau des inventions architecturales : la bourgogne , la normandie qui importe la voûte sur croisée d'ogives d'angleterre. Lieu de passage, de brassage, la picardie et le Île-de-france voient les premiers maîtres gothiques récapituler toutes ces influences.
Une église est un bâtiment clérical dont le but essentiel est de faciliter le rassemblement d'une communauté chrétienne. Il s'agit du principal bâtiment de ce modèle du le église dans la christianisme. Les bâtiments qualifiés de chapelles sont communément personnels, telque la chapelle d'un château fort, ou réservés à une communauté théologique, entre autres une abbaye. La paroisse consiste en un local dédié à la prière et à les pratiques commmunautaires des chrétiens. Spécialement, la messe est, typiquement, dite dans une paroisse par l'aumônier, dans le culte catholique et la religion orthodoxe. Dans le protestantisme, le même bâtiment ayant la même utilité est historiquement nommé le temple et non pas la paroisse, le mot ( Église avec majuscule ) se trouvant essentiellement gardé pour désigner l'institution, ou bien la communauté des chrétiens ( dans quelques cas exceptionnels, spécialement dans l'environnement luthérien gouvernemental, le mot église est utilisé afin de désigner un local ).
lieu de construction
Les premières paroisses, à le époque de la clandestinité, c’est-à-dire avant l'ive siècle, étaient des maison-églises, c. -à-d. Une pièce réservée dans la demeure d'un riche chrétien. Quelquefois, des ossuaires, lorsque elles commencèrent à être réalisées, particulièrement à rome.
Habituellement, quand on décidait de construire une église :
On choisissait un saint protecteur de ce bâtiment ( le saint patron ) ; ce éventail était habituellement le fait du patron temporel du église, sur le secteur duquel la paroisse allait être fabriqué : le pontife, un propriétaire, et des monastères ;
Pour les plus grandes églises, à le travers du milieu du moyen-âge, à le lieu qui serait la croisée des transepts, on plantait un imposant mât ; à l'aube, la journée de la fête du saint patron ( si cette fête se célébrait avant le 21 juin ) ; sinon, à le coucher du soleil, la journée de cette même fête ( si cette fête se célébrait à la suite du 21 juin ) , on notait l'ombre emportée par le mât : l'orientation de cette ombre définissait le pôle est-ouest, nommé decumanus chez les romains. D'autres opérations allaient accompagner ; tracé du cercle dans lequel s'inscriraient les 4 piliers du transept, tracé du cercle définissant le refuge, signification de la nef.