La paroisse du père paret : christian pereira




conversion des paroisses
à la suite des défauts de moyens financiers ou pour des motifs politiques, les paroisses sont de temps en temps réhabilités en locaux avec des fonctions différentes ou pour un autre culte, on peut compter des exemples notables de église transformé en sanctuaire musulman en bulgarie pendant tout le temps de la conquête ottomane et en bibliothèque ou appartement à le canada.





esthétique architectural flamboyant

Bien qu'il est habituel de définir l'architecture moyenâgeux par l'utilisation de l'arc brisé ( l'ogive des anciens antiquaires ) , on ne saurait réduire un type de l'architecture juste, ou tout autre art, à des caractéristiques techniques. Confronter le roman à le gothique par l'utilisation du plein cintre ou celui de l'ogive est antinomique et ne fait pas sens historiquement.

Bon nombres d’autres façons architecturaux ou décoratifs furent utilisés. L'alternance de piles vives et piles piètres cadence la nef et renforce donc la reproduction de taille, d'horizontalité. Le rapport hauteur/largeur de la nef accentue ou atténue la sensation d'hauteur de la voute. La forme des batteries, l'aménagement des chapiteaux, la pourcentage des niveaux ,... Participent tous à le terme du décoratif de l'architecture moyenâgeux









tournant
Depuis les origines et jusque à le xve siècle, dans tous les pays chrétiens, le bâtiment de la paroisse était adéquat à une prière collectif dirigée vers l'est ( c’est ce qu'on a connu sous le nom de l'orientation — il s'agit là de l'origine de ce mot ). Car l'attente du soleil levant ( emblème du christ ressuscité ) est un trait essentiel de la prière et de la spiritualité chrétiennes. Aujourd'hui cette tradition est maintenue dans le Église d'orient. De même, le soleil signifie premièrement lumière et clarté démesuré (. . . ) et selon saint eusèbe d'alexandrie, les chrétiens jusque à le ve siècle avaient chéri dieu le portait tourné vers le soleil levant. Le soleil montant étant très souvent comparé à un oiseau. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le soulever de la journée, et nos clochers chrétiens emportent encore ce volatile qui représente la vigilance de l'esprit en attendant la deuxième débarquée du christ, la naissance de l'imposante aurore1. Le coq étant fréquemment représenté grâce à les instruments de la passion.