Le père paret : christian rauth





histoire des cathédrales sur le territoire français
D'unité et de structuration civile.

Au milieu de ces périls, par sa conduite à la croyances verrouille et prudente, le roi sut contenir les prétentions du clergé dans du plafond avantageux à son pouvoir, et faire prévaloir l'autorité monarchique sur la féodalité. À partir de cette période nous voyons ces mise en places se ralentir, ou se clore à l'hâte, à moins vaste échelle, et s'atrophier pour ainsi dire. Les rares analyses des comptes montrent que les réserves faites par les pontifes se étaient vidées, habituellement en rachat d'immeubles autour des anciennes grandes églises, et dans le lancement de la construction de la paroisse. Celle-ci, n’se trouvant plus nourrie que par des dons annuels et les excédents débarrassés par les moyens du monde du évêque, ralentissait ainsi.


À la mort de philippe le bel, en 1314, le domaine du roi s'est déployé : il a englobé la champagne ; il possède le languedoc, le marquisat de provence ; il a l'auvergne et la bourgogne à le sein de ses provinces. Montpellier, carcassonne, narbonne, la capitale des gaules, exécutent dans leurs grandes églises du chantier colossals et tentent de les reconstituer. Clermont en auvergne, essaie de suivre l'exemple. Les provinces anglaises et la provence, seules, résistent.
À la mort de charles v, en 1380, les anglais ne possèdent plus que bordeaux, le cotentin et calais ; mais la résine est surmenée : les grandes églises dont la restructuration n’a pas été commencée durant tout le temps du xiiie siècle demeurent ce qu'elle étaient ; celles demeurées pas terminées s'achèvent avec difficulté.











tournant
Depuis les origines et jusque à le xve siècle, dans tous les pays chrétiens, le bâtiment du église était adapté à une prière collectif dirigée vers l'est ( c’est ce qu'on a nommé l'orientation — il s'agit là de l'origine de ce mot ). Car l'attente du soleil levant ( signe du christ ressuscité ) est un trait essentiel de la prière et de la spiritualité chrétiennes. Aujourd'hui cette tradition est gardée dans le Église d'orient. De même, le soleil veut dire d'abord clarté et clarté suprême (. . . ) et d'après saint eusèbe d'alexandrie, les catholiques jusque à le ve siècle avaient chéri dieu le portait orienté vers le soleil levant. Le soleil montant est bien entendu très communément comparé à un oiseau. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le soulever de la journée, et nos clochers chrétiens emportent encore ce volatile qui constitue l'attention de l'esprit en patientant la seconde venue du christ, la naissance de l'imposante aurore1. Le coq étant souvent représenté grâce à les instruments de la passion.