La paroisse du père paret : rencontre catholique celibataire





histoire des grandes églises en france
D'unité et de constitution civile.

Les imposantes cathédrales se élèvent à le bout du xiie siècle à sens noyon, laon, reims, amiens, saint-denis, le mans métropoles qui toutes avaient, les premières, signalé l'affranchissement des communes; dans la ville-capitale du Île-de-france, cœur de l'autorité du roi, paris; à rouen, centre de la meilleur province conquise par philippe auguste; à liège, capitale de la commune princiaire de liège.






décoratif architectural flamboyant

Même s'il est courant de présenter l'architecture moyenâgeux par l'usage de l'arc brisé , on ne saurait réduire un style de l'architecture juste, ou n’importe quel autre art, à des caractéristiques techniques. Confronter le livre à le gothique par l'usage du plein cintre ou celui de l'ogive est contradictoire et ne joue pas sens d'un point de vu historique.




Une église est un local théologique dont le rôle essentiel est de faciliter le regroupement d'une communauté chrétienne. C’est l'essentiel bâtiment de ce type du église dans la christianisme. Les édifices nommés chapelles sont généralement personnels, comme la chapelle d'un château fort, ou réservés à une communauté cléricale, entre autres un monastère. La paroisse réside dans un bâtiment consacré à la prière et à les pratiques commmunautaires des chrétiens. Particulièrement, la messe est, par exemple, dite dans une paroisse par le prêtre, dans le catholicisme et la religion orthodoxe. Dans le protestantisme, le même édifice ayant la même fonction est d'un point de vu historique connu sous le nom du temple et non pas le église, le mot étant exclusivement gardé pour désigner l'organisme, ou alors la communauté des chrétiens ( dans certaines cas exceptionnels, spécialement dans l'atmosphère luthérien gouvernemental, le mot église est exploité afin de nommer un bâtiment ).




orientation
Depuis le point de départ et jusque à le xve siècle, dans tous les pays chrétiens, le bâtiment de la paroisse était adéquat à une prière d'ensemble dirigée vers l'est. Car l'attente du soleil levant est un trait principal de la prière et de la spiritualité chrétiennes. Maintenant cette culture est gardée dans le Église d'orient. De même, le soleil signifie premièrement lumière et clarté démesuré (. . . ) et d'après st eusèbe d'alexandrie, les catholiques jusque à le ve siècle avaient chéri dieu le visage tourné vers le soleil levant. Le soleil montant est d'ailleurs assez régulièrement comparé à un oiseau. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le lever du jour, et nos clochers chrétiens emportent encore ce volatile qui constitue la vigilance du âme en patientant la deuxième venue du christ, la naissance de l'imposante aurore1. Le coq est d'ailleurs en général représenté grâce à les accessoires de la passion.