La paroisse du père paret : islam fausse religion
histoire des cathédrales en france
D'unité et de structuration civile.
Au milieu de ces dangers, par sa conduite à la fois clôture et attentife, le roi sut contenir les prétentions cléricale dans des limites avantageux à son pouvoir, et faire prévaloir le pouvoir monarchique sur la féodalité. À partir de cette période nous voyons ces mise en places se ralentir, ou s'achever à l'hâte, à moins grand échelle, et s'atrophier en quelque sorte. Les rares études des comptes montrent que les réserves faites par les prélats se étaient vidées, fréquemment en rachat de logements autour des traditionnelles grandes églises, et dans le début de la construction de la paroisse. Celle-la, n’étant plus nourrie que par des dons annuels et les excédents dégagés par les moyens du domaine du pontife, perdait en vitesse donc.
Hors du domaine royal, le mouvement n’est pas, et ce n’est que bien après, vers la fin du xiiie siècle, quand la royauté eut à peu près rassemblé les différentes provinces des gaules à la couronne, que l'on entreprend la restructuration des grandes églises. C’est à ce moment que certaines diocèses subrogent leurs anciens locaux par des constructions neuves élevées sur des plans sortis du domaine du roi. Mais ce mouvement est restreint, hésitant, et il se stoppe bientôt par suite du fil à retordre politiques du xive siècle.
orientation
Depuis le point de départ et jusque à le xve siècle, dans tous les pays chrétiens, le local du église était adéquat à une prière communautaire dirigée vers l'est. Car l'attente du soleil levant est un trait essentiel de la prière et de la spiritualité chrétiennes. à présent cette tradition est maintenue dans le Église d'orient. De même, le soleil signifie d'abord clarté et clarté extrême (. . . ) et selon st eusèbe d'alexandrie, les chrétiens jusque à le ve siècle aimaient dieu la figure orienté vers le soleil levant. Le soleil montant est bien entendu très souvent comparé à un volatile. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le lever de la journée, et nos clochers chrétiens portent encore ce volatile qui constitue la précaution de l'esprit en attendant la deuxième venue du christ, l'apparition de la grande aurore1. Le coq étant souvent représenté avec les accessoires de la passion.