Le père paret : christian salmon





histoire des grandes églises en france
D'unité et de structuration civile.

Au secteur de ces risques, par son comportement à la croyances ferme et prudente, le roi sut contenir les prétentions du clergé dans du maximum avantageux à son pouvoir, et faire prévaloir l'autorité du roi sur la féodalité. À partir de cette époque nous voyons ces mise en places se ralentir, ou se clore sans perdre de temps, à moins vaste échelle, et s'atrophier pour ainsi dire. Les rares analyses des opérations montrent que les réserves faites par les pontifes se étaient vidées, en général en rachat d'immeubles autour des traditionnelles grandes églises, et dans le lancement de la construction de la paroisse. Celle-la, n’étant plus nourrie que par des dons annuels et les excédents dégagés par les ressources du domaine du pontife, ralentissait ainsi.

Hors du domaine du roi, la circulation n’est pas, et ce n’est que plus tard, dans les alentours du xiiie siècle, lorsque la royauté eut à peu près réuni les différentes provinces des gaules à la couronne, que l'on entreprend la reconstruction des cathédrales. C’est alors que certaines diocèses remplacent leurs vieux locaux par des constructions neuves élevées sur des plans sortis du domaine du roi. Mais ce mouvement est restreint, timide, et il se stoppe bientôt par suite des difficultés politiques du xive siècle.










l'art roman
Il s'avoue fondamentalement par l'emploi de l'arc en plein cintre, qui forme un 1/2 cercle parfait. Il utilise les stratégiques et communément les décors, héritées de l'antiquité, d'où son nom.
Son aspect est en général massif, avec de relativement petites ouvertures et des muretins gros parce que la paroisse romane est réalisé pour être couverte de fresques, afin de être exploitée la nuit ( nombreuses vigiles pas seulement monastiques ainsi que paroissiales ) et afin de être éclairée de lampes.