Le père paret : preparation bapteme catholique




le future des églises sur le territoire français
Faute d'un entretien satisfaisant de la part des mairies qui en ont la charge, plusieurs milliers de paroisses sur les 40000 que dénombre la france encourent un risque important de être rasées dans les prochaines années. Il faut noter que les villages n’ont pas toujours les ressources bancaires de maintenir leur paroisse, bien qu'elle n’est pas particulièrement importante. De même, quelques grandes agglomérations qui dénombrent les dizaines de très beaux édifices, ne sont capables de fréquemment assurer seules l'entretien et les travaux. La france est l'une des nations qui compte le plus grand nombre de édifices théologique, et c’est de façon complète que le coût de restructuration est très important. Cet incident s'applique de la même manière à les très nombreux manoirs.




architecture médiéval
Ce sont les italiens de la renaissance qui ont désigné gotico gothique ce genre originellement nommé francigenum opus , texto œuvre française, c. -à-d. Manière de construire en Île de france. Le terme médiéval est manifestement utilisé pour la seule fois par l'artisan peintre raphaël vers 1518 dans un rapport à le saint-père léon x sur la préservation des bâtiments antiques : raphaël estime que les arcs en ogive de l'architecture flamboyant rapellent le galbe des arbres formant les cabanes primitives des habitants des forêts d'allemagne - une légende qui va refaire surface chez les romantiques - et fait référence, de façon neutre, à l'art flamboyant du ve siècle, désignant par contre le francigenum opus flamboyant sous le mot art tudesque1. Gothique est ensuite réutilisé dans un sens négatif par le critique d'art giorgio vasari en 1530, faisant lui référence à le sac de rome par les sanguinaire goths. L'art flamboyant était donc le œuvre de barbares pour les italiens de la renaissance, car il aurait résulté de l'oubli des techniques et des canons esthétiques gréco-romains. L'art gothique a aussi été intensément critiqué par des auteurs français tels que boileau, la bruyère ou jean-jacques rousseau, avant de devenir réhabilité par des architectes comme francesco borromini ou jan blažej santini-aichel inventeur du style baroque moyenâgeux


L'architecture flamboyant se montre en Île-de-france et en forte picardie à le xiie siècle ; elle se diffuse vite à le nord de la loire, et ensuite à le sud de la loire et en europe jusque en plein le xvie siècle egalement jusque à le xviie siècle dans certains pays. La méthode et le décoratif flamboyant se perpétue dans l'architecture française au-delà du xvie siècle, dans la période traditionnelle, dans beaucoup de détails et usages de reconstructions, et ensuite vient un vrai regain avec la vague de l'historicisme à le xixe siècle, jusque à le début du xxe siècle : le style fut qualifié de néo-gothique.
Son identité très grande est aussi bien philosophique qu'architecturale. Elle représente a priori, de ces deux visions, l'un des principaux achèvements artistiques du moyen-Âge.


Une église est un édifice théologique dont le rôle principal est de simplifier le rassemblement d'une communauté chrétienne. C’est l'essentiel édifice de ce type du église dans la christianisme. Les édifices nommés chapelles sont généralement personnels, comme la chapelle d'un château fort, ou destinés à une communauté religieuse, par exemple une abbaye. La paroisse consiste en un bâtiment consacré à la prière et à les pratiques commmunautaires des catholiques. Particulièrement, la messe est, par exemple, dite dans une église par l'aumônier, dans le culte catholique et la religion orthodoxe. Dans le protestantisme, le même bâtiment ayant la même utilité est au niveau historique nommé le temple et non pas le église, le terme ( Église avec majuscule ) se trouvant principalement retenu en vue de nommer le société, ou bien la communauté des chrétiens ( dans quelques cas exceptionnels, notamment dans l'atmosphère luthérien institutionnel, le mot église est utilisé pour nommer un local ).




orientation
Depuis les origines et jusque à le xve siècle, dans toute l'europe chrétiens, le édifice du église était propre à une prière communautaire dirigée vers l'est ( c’est ce qu'on a appelé l'orientation — c’est là l'origine de ce terme ). Car l'attente du soleil levant ( signe du christ ressuscité ) est un trait essentiel de la prière et de la spiritualité chrétiennes. à présent cette tradition est maintenue dans le Église d'orient. De même, le soleil veut dire d'abord lumière et clarté extrême et selon saint eusèbe d'alexandrie, les catholiques jusque à le ve siècle avaient chéri dieu la figure orienté vers le soleil levant. Le soleil montant est d'ailleurs très communément comparé à un oiseau. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le lever de la journée, et nos clochers chrétiens portent encore cet oiseau qui incarne la précaution de l'esprit en attendant la seconde venue du christ, la naissance de la grande aurore1. Le coq étant en général montré avec les accessoires de la passion.