Le père paret : religion bahi




conversion des paroisses
à la suite des défauts de moyens bancaires ou bien pour des motifs politiques, les églises sont parfois réhabilités en édifices avec des fonctions divers ou pour une autre religion, on peut compter des exemples remarquables de église convertie en mosquée en bulgarie durant toute la conquête ottomane et en bibliothèque ou appartement à le québec.





histoire du gotisme
La forme médiéval se montre exclusivement en haute picardie6 et en Île-de-france, les tous 1ers édifices protogothiques naissant dans la région francilienne. La principale supposition afin d'expliquer ces lieux de naissance francilien et picard est que sont ils exclusivement habités à cette époque de locaux paléochrétiens, particulièrement de grandes églises à muretins achèvements, charpentées et percées de nombreuses baies. Ces secteurs sont ainsi déjà préparées à les éventail stratégiques et esthétiques du gothique. De plus, elles voient l'avènement des capétiens et la stabilisation du État qui, au fure et à mesure du rattachement des fiefs féodaux, dicte comme emblème du gouvernement royal le renouvellement de ces bâtiments. Pour conclure, elles sont à la limite de régions énergiques d’un point de vu des inventions architecturales : la bourgogne ( arc brisé inventé à le monastère de cluny, arc-boutants conçus à cluny et vézelay ) , la normandie qui importe la voûte sur croisée d'ogives d'angleterre. Endroit de passage, de brassage, la picardie et le Île-de-france assistent à les 1ers maîtres médiévals résumer toutes ces influences.
Le style change dans le délai : à le gothique dit primitif succèdent sur le territoire français le flamboyant classique ( 1190 - 1230 environ ) , et ensuite le moyenâgeux rayonnant ( v.1230- v.1350 ) , naturellement le flamboyant médiéval. À la renaissance, le style flamboyant évolue, en france, vers un type mulâtre d'architecture médiéval et de décoration renaissance ( église st Étienne du mont à la capitale ).
Son extension topographique se fait essentiellement en europe occidentale et l'architecture médiéval se découpe en de nombreuses variantes locales : flamboyant angevin, normand, perpendiculaire...


Une église est un local religieux dont le rôle essentiel est de faciliter le regroupement d'une communauté chrétienne. C’est le principal bâtiment de ce modèle du le église dans la christianisme. Les bâtiments nommés chapelles sont communément personnels, comme la chapelle d'un château fort, ou réservés à une communauté religieuse, entre autres une abbaye. La paroisse réside dans un local consacré à la prière et à les pratiques commmunautaires des chrétiens. Particulièrement, la messe est, typiquement, dite dans une paroisse par l'aumônier, dans le culte catholique et la religion orthodoxe. Dans le protestantisme, le même édifice ayant la même utilité est d'un point de vu historique nommé le temple et non pas la paroisse, le terme ( Église avec majuscule ) étant exclusivement retenu pour nommer l'institution, ou bien la communauté des catholiques ( dans certaines cas exceptionnels, notamment dans le contexte luthérien institutionnel, le terme église est exploité en vue de désigner un local ).


lieu de réalisation
Les premières paroisses, à le temps de la clandestinité, c-à-d avant l'ive siècle, étaient des maison-églises, c’est-à-dire une pièce destinée dans la maison d'un riche chrétien. De temps en temps, des ossuaires, quand-t-elles débutèrent à être réalisées, notamment à rome.

Habituellement, lorsque on avait statué de fabriquer une église :
On optait pour un saint patron de ce édifice ; ce éventail était communément le principe du patron temporel de la paroisse, sur l'activité duquel la paroisse allait être fabriqué : le prélat, un propriétaire, et des abbayes ;
Pour les plus grandes églises, à le travers du centre du moyen Âge, à l'endroit qui serait la croisée des transepts, on plantait un imposant mât ; à l'aube, la journée de la fête du saint protecteur ; sinon, en soirée, le jour de cette même fête ( si cette fête se célébrait après le 21 juin ) , on notait l'ombre emportée par le mât : l'orientation de cette ombre définissait le pivot est-ouest, connu sous le nom de decumanus chez les romains. D'autres travaux allaient accompagner ; tracé du cercle dans lequel s'inscriraient les quatre piliers du transept, tracé du cercle définissant le refuge, signification de la nef.