Le père paret : secours catholique 92




le future des églises en france
à défaut d'un entretien suffisant venant des mairies qui en ont la charge, plusieurs milliers de églises sur les 40000 que dénombre la france encourent un risque important de devenir rasées dans les prochaines années. Il faut dire que les villages ne disposent pas toujours des ressources bancaires d'entretenir leur église, même si elle n’est pas imposante. De même, quelques agglomérations qui comptent les dizaines de superbes bâtiments, ne sont capables de fréquemment assurer seules la maintenance et les chantiers. La france est l'une des nations qui dénombre le plus de monuments religieux, et c’est de manière complète que le coût de restructuration est très élevé. Ce problème s'emploie de la même manière à le grand nombre de châteaux.

Les paroisses reconnues pour leur architecture ou leur décor interne sont capables de générer un voyage, et donc un dynamisme économique, capable de simplifier la maintenance. Mais tous les locaux religieux ne sont capables d'affirmer à un grand tourisme, ce qui rend difficile leur rénovation.








lieu de réalisation
Les premières paroisses, à le époque de la clandestinité, c’est-à-dire avant l'ive siècle, étaient des maison-églises, c. A. D. Une pièce destinée dans le pavillon d'un riche chrétien. Parfois, des ossuaires, quand-t-elles débutèrent à être édifiées, notamment à rome.

Traditionnellement, quand on décidait de fabriquer une paroisse :
On optait pour un saint protecteur de ce bâtiment ( le saint patron ) ; cet assortiment était souvent le principe du patron temporel du église, sur le domaine duquel le église allait être fabriqué : le évêque, un propriétaire, et des abbayes ;
Pour les plus imposantes églises, à le travers du centre du moyen-âge, à l'endroit qui serait la croisée des transepts, on plantait un grand mât ; à l'aube, la journée de la fête du saint protecteur ; sinon, à le coucher du soleil, la journée de cette même fête ( si cette fête se célébrait après le 21 juin ) , on notait l'ombre emportée par le mât : l'orientation de cette ombre définissait l'axe est-ouest, nommé decumanus chez les romains. D'autres opérations allaient accompagner ; tracé du cercle dans lequel s'inscriraient les quatre piliers du transept, tracé du cercle définissant le sanctuaire, définition de la nef.