La paroisse du père paret : christiane singer





histoire des cathédrales sur le territoire français
D'unité et de développement civile.

Les grandes grandes églises se élèvent à la fin du xiie siècle à sens noyon, laon, reims, amiens, saint-denis, le mans métropoles qui toutes avaient, les premières, signalé l'affranchissement des communes; dans la ville-capitale du Île-de-france, centre de l'autorité monarchique, paris; à rouen, cœur de la meilleur province conquise par philippe auguste; à liège, capitale de la commune princiaire de liège.
L'alliance du clergé avec la monarchie ne s'attarda pas à tourmenter les barons ; st louis reconnut prochainement que le gouvernement royal ne faisait que permuter de maître. En 1235, la noblesse de france et le roi se réunissèrent à saint-denis afin de restreindre la puissance que les tribunaux ecclésiastiques se étaient arrogée. En 1246, les barons rédigèrent un pacte de fusion et désignèrent une prime des quatre plus performants parmis eux, en vue de choisir dans quels cas le baronnage devait prendre fait et cause pour tout seigneur vexé par les ecclésiastiques ; d'autre part, chaque seigneur donnait parole à mettre en commun la centième partie de son retourné, afin de poursuivre réellement le but de l'union.
Au milieu de ces périls, par sa conduite à la fois ferme et attentife, le roi sut retenir les prétentions du clergé dans des limites favorables à son pouvoir, et faire prévaloir le pouvoir monarchique sur la féodalité. À partir de cette époque nous voyons ces constructions se ralentir, ou se clôturer sans perdre de temps, à moins immense échelle, et s'atrophier en quelque sorte. Les rares analyses des comptes présentent que les réserves faites par les prélats se étaient épuisées, communément en rachat de logements autour des traditionnelles cathédrales, et dans le début de la fabrication de la paroisse. Celle-ci, n’étant plus nourrie que par des dons par ans et les excédents débarrassés par les moyens du monde du évêque, ralentissait donc.
À la fin du xiiie siècle, les chantiers de ces vastes mise en places tardivement issues de terre n’arrivèrent pas à leur développement final ; ils se éteignirent tout d'un coup ; si les cathédrales furent terminées, ce ne fut plus que à l'aide des sacrifices personnels de prélats ou de chapitres qui utilisèrent leurs propres biens pour clore ce que la foi et la fougue de toute une population avaient permis de commencer. Rares sont les cathédrales qui aient été achevées comme elles avaient été projetées ; et c’est logique : le époque pendant laquelle leur quotidien est en quelque sorte un besoin impérieux, l'expression d'un désir implacable, est incluse entre les années 1180 et 1240. 60 ans. Ce qui surprend actuellement, c’est qu'en un temps aussi court on ait pu obtenir, sur un territoire également immense, des retombées également surprenants ; car ce n’était pas seulement des tactiques qu'il fallait découvrir, mais des milliers d'artistes qui, la plupart, étaient des individus dont le talent dans l'exécution des œuvres est pour nous actuellement un thème d'emballement.

En dehors du domaine royal, la circulation n’existe pas, et ce n’est que plus tard, vers la fin du xiiie siècle, quand la royauté eut à peu près rassemblé toutes les provinces des gaules à la couronne, que l'on entreprend la reconstruction des cathédrales. C’est alors que certaines diocèses substituent leurs vieux monuments par des constructions récentes élevées sur des plans sortis du domaine royal. Mais ce mouvement est limite, hésitant, et il se stoppe prochainement par suite du fil à retordre politiques du xive siècle.


À la mort de philippe le bel, en 1314, le domaine du roi s'est déployé : il a englobé la champagne ; il possède le languedoc, le marquisat de provence ; il a l'auvergne et la bourgogne à le sein de ses provinces. Montpellier, carcassonne, narbonne, lyon, exécutent dans leurs grandes églises des travaux considérables et essaient de les reproduire. Clermont en auvergne, essaie de faire pareil. Les provinces anglaises et la provence, seules, tiennent bon.






histoire du gotisme
Le style gothique apparaît fondamentalement en forte picardie6 et en Île-de-france, les tous 1ers bâtiments protogothiques voyant le jour dans la région francilienne. La principale supposition pour expliquer ces lieux d'apparition francilien et picard est que sont ils essentiellement peuplés à cette période de édifices paléochrétiens, particulièrement de cathédrales à murs achèvements, charpentées et percées de nombreuses baies. Ces régions sont ainsi déjà préparées à les éventail techniques et esthétiques du gothique. Par ailleur, elles voient l'avènement des capétiens et la consolidation du État qui, à mesure du rattachement des fiefs féodaux, dicte comme signe du pouvoir royal le reconduction de ces locaux. Pour finir, elles sont à la limite de secteurs dynamiques d’un point de vu des inventions architecturales : la bourgogne , la normandie qui fait venir la voûte sur croisée d'ogives d'angleterre. Lieu de passage, de brassage, la picardie et le Île-de-france assistent à les 1ers maîtres gothiques récapituler toutes ces influences.


Une église est un bâtiment religieux dont le but principal est de simplifier le rassemblement d'une communauté chrétienne. Il s'agit du principal bâtiment de ce modèle du le église dans la christianisme. Les édifices qualifiés de chapelles sont en général privés, comme la chapelle d'un château fort, ou destinés à une communauté religieuse, par exemple un monastère. La paroisse réside dans un édifice consacré à la prière et à les pratiques commmunautaires des chrétiens. Spécialement, la messe est, typiquement, dite dans une église par le prêtre, dans le culte catholique et l'orthodoxie. Dans le protestantisme, le même bâtiment ayant la même fonction est au niveau historique nommé le temple et non pas le église, le terme étant essentiellement gardé en vue de nommer l'institution, ou alors la communauté des catholiques.




tournant
Depuis les origines et jusque à le xve siècle, dans tous les pays chrétiens, le bâtiment de la paroisse était propre à une prière communautaire dirigée vers l'est. Car l'attente du soleil levant ( symbole du christ ressuscité ) est un trait essentiel de la prière et de la spiritualité chrétiennes. Maintenant cette tradition est gardée dans le Église d'orient. De même, le soleil signifie premièrement clarté et lumière suprême et selon saint eusèbe d'alexandrie, les catholiques jusque à le ve siècle chérissaient dieu le visage orienté vers le soleil levant. Le soleil montant est d'ailleurs assez régulièrement comparé à un volatile. Le mazdéisme assimile le soleil à un coq qui annonce le soulever du jour, et nos clochers chrétiens portent encore ce volatile qui symbolise la vigilance de l'esprit en attendant la seconde débarquée du christ, la naissance de la grande aurore1. Le coq est d'ailleurs souvent représenté avec les accessoires de la passion.