La paroisse du père paret : christian charmetant





histoire des cathédrales sur le territoire français
D'unité et de développement civile.

Au secteur de ces dangers, par son comportement à la fois verrouille et attentife, le roi sut contenir les prétentions du clergé dans du plafond avantageux à son pouvoir, et faire prévaloir le pouvoir du roi sur la féodalité. À partir de cette période nous assistons à ces constructions se ralentir, ou se finir sans perdre de temps, à moins grand échelle, et s'atrophier en quelque sorte. Les quelques études des opérations présentent que les réserves faites par les évêques se étaient vidées, en général en rachat d'immeubles autour des traditionnelles cathédrales, et dans le lancement de la fabrication de la paroisse. Celle-ci, n’étant plus nourrie que par des dons annuels et les excédents dégagés par les moyens du secteur du prélat, perdait en vitesse donc.
À l'aboutissement du xiiie siècle, les chantiers de ces immenses réalisations tard issues de terre n’débarquèrent pas à leur structuration final ; ils se éteignirent subitement ; si les cathédrales furent achevées, ce ne fut plus que à l'aide des sacrifices personnels de prélats ou de chapitres qui employèrent leurs propres biens afin de clôturer ce que la croyance et l'emballement de toute une population avaient permis de démarrer. Rares sont les grandes églises qui aient été finies comme elles avaient été projetées ; et cela se comprend : le époque durant laquelle leur vie est pour ainsi dire un besoin impérieux, le terme d'un désir irrésistible, est comprise entre les années 1180 et 1240. 60 ans. Ce qui interloque à présent, c’est qu'en un temps aussi petit on ait pu obtenir, sur un territoire également grand, des résultats également étonnants ; car ce n’était non seulement des tactiques qu'il fallait trouver, mais des centaines d'artistes qui, la plupart, étaient des individus dont le talent dans la réalisation des œuvre est pour nous aujourd'hui un sujet d'admiration.

En dehors du domaine royal, la circulation n’existe pas, et ce n’est que bien après, dans les alentours du xiiie siècle, lorsque la monarchie eut approximativement réuni toutes les provinces des gaules à la couronne, que l'on entreprend la reconstruction des grandes églises. C’est à ce moment que certaines diocèses remplacent leurs anciens bâtiments par des résidence neuves élevées sur des plans sortis du domaine du roi. Mais ce mouvement est limite, hésitant, et il se stoppe bientôt par suite des difficultés politiques du xive siècle.


À le décès de philippe le bel, en 1314, le domaine royal s'est déployé : il a englobé la champagne ; il possède le languedoc, le marquisat de provence ; il a l'auvergne et la bourgogne à le sein de ses provinces. Montpellier, carcassonne, narbonne, la capitale des gaules, exécutent dans leurs cathédrales des travaux considérables et essaient de les reconstituer. Clermont en auvergne, essaie de suivre l'exemple. Les provinces anglaises et la provence, seules, résistent.






histoire du gotisme
La forme gothique apparaît exclusivement en haute picardie6 et en Île-de-france, les tous premiers édifices protogothiques venant à le monde dans la région francilienne. La plus grande hypothèse afin d'expliquer ces lieux de naissance francilien et picard est que sont ils essentiellement habités à cette époque de bâtiments paléochrétiens, particulièrement de grandes églises à parapets fins, charpentées et percées de nombreuses baies. Ces régions sont donc déjà préparées à les assortiment stratégiques et décoratifs du moyenâgeux. D'autre part, elles assistent à l'apparition des capétiens et la consolidation du État qui, à mesure du rattachement des fiefs féodaux, impose comme signe du pouvoir royal le reconduction de ces locaux. Pour finir, elles sont à la frontière de secteurs énergiques à le niveau des inventions architecturales : la bourgogne ( arc brisé inventé à l'abbaye de cluny, arc-boutants imaginés à cluny et vézelay ) , la normandie qui importe la voûte sur croisée d'ogives d'angleterre ( abbaye de jumièges, abbaye de lessay ). Lieu de passage, de brassage, la picardie et le Île-de-france voient les premiers maîtres flamboyants récapituler toutes ces influences.


Une église est un édifice religieux dont le but principal est de simplifier le regroupement d'une communauté chrétienne. Il s'agit du principal édifice de ce modèle du la paroisse dans la christianisme. Les locaux nommés chapelles sont habituellement personnels, telque la chapelle d'un château fort, ou réservés à une communauté théologique, entre autres une abbaye. Le église consiste en un édifice dédié à la prière et à les pratiques culturelles des chrétiens. Spécialement, la messe est, par exemple, dite dans une église par l'aumônier, dans le catholicisme et la religion orthodoxe. Dans le protestantisme, le même édifice ayant la même utilité est au niveau historique nommé le temple et non pas le église, le mot ( Église avec majuscule ) se trouvant essentiellement gardé en vue de désigner l'organisme, ou bien la communauté des chrétiens.


les fonctions des paroisses catholiques et orthodoxes

D'après son intérêt et son rôle, en régime catholique romain, une église peut être :
- cathédrale ( adjectif et nom ) si elle est équipée d'une cathèdre, là où siège un prélat.
- primatiale si elle est siège d'un primat, prélat ayant une primauté sur les autres.
- basilique ( adjectif et nom )
- si elle est bâtie selon un plan à l'antique dit plan basilical.
- ou si elle fut construite par un empereur.
- ou si elle a perçu ce titre spécial du souverain pontife de par sa fonction de lieu de pèlerinage.
- collégiale ( adjectif et nom ) si, sans être cathédrale, elle est desservie par un collège de chanoines séculiers.
- paroissiale si elle est le siège d'une communauté de chrétiens.
- abbatiale ( nom et adjectif ) si elle est la paroisse essentielle d'une abbaye.
- priorale si elle est la paroisse d'un prieuré.