La paroisse du père paret : christian tortu
histoire des cathédrales en france
D'unité et de développement civile.
Les grandes cathédrales se élèvent à la fin du xiie siècle à sens noyon, laon, reims, amiens, saint-denis, le mans villes qui toutes avaient, les premières, donné le signal de l'affranchissement des communes; dans la ville-capitale du Île-de-france, centre du pouvoir monarchique, paris; à rouen, cœur de la plus belle province conquise par philippe auguste; à liège, capitale de la commune princiaire de liège.
À l'aboutissement du xiiie siècle, les chantiers de ces immenses mise en places tard issues de terre n’débarquèrent pas à leur constitution final ; ils s'arrêtèrent tout à coup ; si les grandes églises furent terminées, ce ne fut plus que par les efforts personnels de prélats ou de chapitres qui utilisèrent leurs propres biens en vue de clôturer ce que la croyance et l'emballement de tout un peuple avaient permis de commencer. Rares sont les grandes églises qui aient été finies telles qu'elles avaient été projetées ; et cela se comprend : la période durant laquelle leur quotidien est pour ainsi dire un besoin impératif, l'expression d'une envie implacable, est comprise entre l'an 1180 et 1240. Soixante ans. Ce qui étonne actuellement, c’est qu'en un temps aussi court on ait pu obtenir, sur un territoire également immense, des résultats aussi interloquants ; car ce n’était non seulement des stratégies qu'il a fallu trouver, mais des milliers d'artistes qui, la plupart, étaient des individus dont l'aptitude dans la réalisation des ouvrages est pour nous maintenant un thème d'admiration.
histoire du gotisme
Le type gothique se montre exclusivement en haute picardie6 et en Île-de-france, les tous 1ers monuments protogothiques voyant le jour dans la région francilienne. La principale supposition afin d'expliquer ces lieux de naissance francilien et picard est que sont ils essentiellement peuplés à cette époque de locaux paléochrétiens, particulièrement de grandes églises à muretins achèvements, charpentées et percées de nombreuses baies. Ces régions sont donc déjà préparées à les choix techniques et esthétiques du médiéval. Par ailleur, elles voient l'apparition des capétiens et la consolidation du État qui, au fure et à mesure de l'annexion des fiefs féodaux, dicte comme signe du pouvoir royal le reconduction de ces édifices. Pour conclure, elles sont à la limite de zones dynamiques d’un point de vu des inventions architecturales : la bourgogne , la normandie qui importe la voûte sur croisée d'ogives d'angleterre. Emplacement de passage, de brassage, la picardie et le Île-de-france voient les premiers maîtres médiévals abréger toutes ces influences.
l'art roman
Il se concède principalement par l'emploi de l'arc en plein cintre, qui forme un demi cercle parfait. Il utilise les techniques et habituellement les décors, héritées de l'antiquité, d'où son nom.
Son apparence est habituellement massif, avec de très petites ouvertures et des parapets gros parce que la paroisse romane est conçue afin de être revêtue de fresques, afin de être exploitée la nuit ( nombreuses vigiles non seulement monastiques mais aussi paroissiales ) et afin de être éclairée de lampes.
L'art byzantin, en orient, est une variante de l'art roman qui privilégie les plans centrés incités de la grande Église ( sainte-sophie de constantinople ). Il ne sait pas le déambulatoire.