Le père paret : christian blanc
histoire des cathédrales sur le territoire français
D'unité et de développement civile.
Au secteur de ces risques, par son comportement à la fois ferme et prudente, le roi sut contenir les prétentions du clergé dans du plafond avantageux à son pouvoir, et faire prévaloir l'autorité du roi sur la féodalité. À partir de cette période nous voyons ces constructions se ralentir, ou se finir en vitesse, à moins vaste échelle, et s'atrophier en quelque sorte. Les quelques études des opérations présentent que les réserves faites par les évêques se étaient épuisées, souvent en rachat de logements à l'alentour des traditionnelles cathédrales, et dans le lancement de la fabrication de la paroisse. Celle-la, n’étant plus nourrie que par des dons annuels et les excédents débarrassés par les ressources du secteur du évêque, ralentissait ainsi.
À le décès de charles v, en 1380, les britannique ne possèdent plus que bordeaux, le cotentin et calais ; mais la sève est épuisée : les grandes églises dont la restructuration n’a pas été commencée pendant tout le temps du xiiie siècle demeurent ce qu'elle étaient ; celles demeurées pas terminées se finissent avec difficulté.
l'architecture contemporaine
On qualifie de modernes les églises construites sur le territoire français à partir des années 1920, après les démolitions de la première guerre mondiale, notamment. Les architectes répètent le sujet, proposent des nouveautés tout en faisant attention à le respect des règles liturgiques. Quelques églises sont sorties du déplacement d'urbanisation des métropoles, le Église catholique désirant que des édifices de cultes soient à le plus proche des groupes de populations : le Église notre-dame du raincy par auguste perret est l'une d'entre elles.