La paroisse du père paret : citation religion





histoire des grandes églises en france
D'unité et de constitution civile.


En dehors du domaine du roi, le mouvement n’existe pas, et ce n’est que plus tard, dans les alentours du xiiie siècle, quand la royauté eut à peu près réuni toutes les provinces des gaules à la couronne, que l'on entreprend la reconstruction des grandes églises. C’est alors que certaines diocèses subrogent leurs vieux monuments par des batiments récents élevées sur des plans sortis du domaine royal. Mais ce mouvement est limite, timide, et il s'arrête bientôt par suite du fil à retordre politiques du xive siècle.


À le décès de philippe le bel, en 1314, le domaine du roi s'est étendu : il a englobé la champagne ; il contient le languedoc, le marquisat de provence ; il tient l'auvergne et la bourgogne à le sein de ses provinces. Montpellier, carcassonne, narbonne, la capitale des gaules, exécutent dans leurs cathédrales du chantier considérables et tentent de les réformer. Clermont en auvergne, tente de faire pareil. Les provinces anglaises et la provence, seules, tiennent bon.






histoire du gotisme
La forme gothique se montre principalement en haute picardie6 et en Île-de-france, les tous 1ers bâtiments protogothiques voyant le jour dans la région francilienne. La plus grande hypothèse pour expliquer ces lieux d'apparition francilien et picard est que sont ils fondamentalement habités à cette période de édifices paléochrétiens, spécialement de cathédrales à muretins fins, charpentées et percées de nombreuses baies. Ces secteurs sont ainsi déjà préparées à les assortiment stratégiques et décoratifs du moyenâgeux. De plus, elles assistent à l'avènement des capétiens et la consolidation du État qui, au fure et à mesure du rattachement des fiefs féodaux, impose comme emblème du gouvernement royal le reconduction de ces locaux. Pour conclure, elles sont à la limite de zones dynamiques d’un point de vu des inventions architecturales : la bourgogne ( arc brisé inventé à l'abbaye de cluny, arc-boutants inventés à cluny et vézelay ) , la normandie qui importe la voûte sur croisée d'ogives d'angleterre. Endroit de passage, de brassage, la picardie et le Île-de-france voient les premiers maîtres moyenâgeuxs récapituler toutes ces influences.
Le type change dans le temps : à le flamboyant dit antique succèdent en france le moyenâgeux traditionnelle ( 1190 - 1230 aproximativement ) , puis le médiéval rayonnant ( v.1230- v.1350 ) , pour conclure le flamboyant médiéval. À la renaissance, le style flamboyant évolue, sur le territoire français, vers un style hybride d'architecture moyenâgeux et de décoration renaissance.
Son extension topographique se fait essentiellement en europe occidentale et l'architecture gothique se découpe en plusieurs variantes locales : médiéval angevin, normand, perpendiculaire...





emplacement de mise en place
Les premières paroisses, à le époque de la clandestinité, c. -à-d. Avant l'ive siècle, étaient des maison-églises, c. -à-d. Une pièce réservée dans le pavillon d'un millionnaire chrétien. De temps en temps, des catacombes, quand-t-elles débutèrent à être réalisées, notamment à rome.
Dans les villes romaines, après la chute des croyances polythéistes, les évêques s'efforcèrent de établir les lieux de cultes à le christ à l'endroit de temples ou de fana. Dans les grands domaines fonciers, les chapelles devinrent petit à petit des paroisses paroissiales.
Traditionnellement, quand on avait décidé de fabriquer une église :
On choisissait un saint patron de ce édifice ; ce choix était habituellement le principe du patron temporel du église, sur le domaine duquel le église allait être fabriqué : le prélat, un propriétaire, et des monastères ;
Pour les plus grandes églises, à partir du centre du moyen Âge, à l'emplacement qui serait la croisée des transepts, on plantait un grand mât ; à le lever du soleil, la journée de la fête du saint protecteur ( si cette fête se célébrait avant le 21 juin ) ; sinon, à le coucher du soleil, le jour de cette même fête ( si cette fête se célébrait à la suite du solstice de été ) , on notait l'ombre emportée par le mât : l'orientation de cette ombre définissait l'axe est-ouest, connu sous le nom de decumanus chez les romains. D'autres travaux allaient accompagner ; tracé du cercle dans lequel s'inscriraient les 4 piliers du transept, tracé du cercle définissant l'asil, définition de la nef.