La paroisse du père paret : benjamin millepied religion




le management des cathédrales en france
La loi du 17 avr 1906 et le décret du 4 juil 1912 ont remis la charge des 87 grandes églises à le secrétariat de État à les beaux-arts, devenu ministère de la culture et de la médiatisation. Cette possession se étend à le tous les dépendances de location d'appartements et à l'ensemble des immeubles par destination et des meubles les garnissant. Le cadre judiciaire de l'agencement interne des grandes églises fut étudié par pierre-laurent frier, formateur à l'université de la capitale i ( panthéon-sorbonne ) , ancien directeur des études du École publique du patrimoine3 ; et le savoir faire du conseil municipal concernant les églises et à les biens qui y furent déployés a été traitée par marie-christine rouault, doyen de la faculté des disciplines juridiques, politiques et humaines de lille ii4 à partir de l'abandon du 4 novembre 1994 du conseil de État.










endroit de réalisation
Les premières paroisses, à le temps de la clandestinité, c. A. D. Avant l'ive siècle, étaient des maison-églises, c-à-d une pièce réservée dans le pavillon d'un richissime chrétien. Quelquefois, des catacombes, quand-t-elles démarrèrent à être édifiées, spécialement à rome.

Habituellement, quand on statuait de construire une église :
On avait opté un saint patron de ce édifice ; cet assortiment était communément le principe du patron temporel de la paroisse, sur le domaine duquel le église allait être fabriqué : le pontife, un propriétaire, et des abbayes ;
Pour les plus imposantes églises, à partir du centre du moyen Âge, à l'endroit qui serait la croisée des transepts, on plantait un grand mât ; à le lever du soleil, la journée de la fête du saint protecteur ( si cette fête se célébrait avant le 21 juin ) ; sinon, à le coucher du soleil, la journée de cette même fête ( si cette fête se célébrait après le 21 juin ) , on notait l'ombre emportée par le mât : l'orientation de cette ombre définissait le pivot est-ouest, connu sous le nom de decumanus chez les romains. D'autres tâches allaient suivre ; tracé du cercle dans lequel s'inscriraient les quatre piliers du transept, tracé du cercle définissant l'asil, signification de la nef.