La paroisse du père paret : eglise catholique





histoire des cathédrales sur le territoire français
D'unité et de développement civile.

L'alliance cléricale avec le roi ne tarda pas à contrarier les barons ; saint louis admit prochainement que le gouvernement royal ne faisait que échanger de maître. En 1235, l'aristocratie de france et le roi se réunissèrent à saint-denis afin de limiter la puissance que les tribunaux ecclésiastiques se étaient arrogée. En 1246, les barons écrirent un pacte de fusion et désignèrent une commission des 4 plus puissants d'entre eux, pour décider dans quels cas le baronnage devait prendre fait et cause pour tout seigneur vexé par les ecclésiastiques ; de plus, chaque seigneur se était engagé à partager la centième partie de son revenu, pour poursuivre activement le but de la fusion.
Au secteur de ces risques, par sa conduite à la fois ferme et attentife, le roi sut retenir les prétentions du clergé dans du maximum avantageux à son pouvoir, et faire prévaloir l'autorité du roi sur la féodalité. Dès cette période nous assistons à ces réalisations se ralentir, ou se clôturer à l'hâte, à moins vaste échelle, et s'atrophier pour ainsi dire. Les rares analyses des opérations montrent que les réserves faites par les pontifes se étaient vidées, souvent en rachat de logements à l'alentour des traditionnelles cathédrales, et dans le début de la construction du église. Celle-ci, n’se trouvant plus alimentée que par des dons annuels et les excédents dégagés par les moyens du domaine du prélat, perdait en vitesse ainsi.
À l'aboutissement du xiiie siècle, les chantiers de ces vastes réalisations tardivement issues de terre n’débarquèrent pas à leur développement final ; ils s'arrêtèrent subitement ; si les cathédrales furent achevées, ce ne fut plus que à l'aide des efforts privés de prélats ou de chapitres qui utilisèrent leurs propres biens pour achever ce que la croyance et l'emballement de toute une population avaient permis de démarrer. Rares sont les cathédrales qui aient été clôturées comme elles avaient été projetées ; et cela se comprend : la période durant laquelle leur quotidien est en quelque sorte une nécessité impérieux, l'expression d'un désir implacable, est incluse entre les années 1180 et 1240. Soixante ans. Ce qui surprend maintenant, c’est qu'en un temps aussi court on ait pu acquérir, sur un territoire également immense, des résultats également étonnants ; car ce n’était pas seulement des manœuvres qu'il fallait découvrir, mais des milliers d'artistes qui, la majorité, étaient des individus dont le talent dans la réalisation des ouvrages est pour nous actuellement un sujet d'engouement.

En dehors du domaine du roi, la circulation n’est pas, et ce n’est qu'après, vers la fin du xiiie siècle, quand la monarchie eut à peu près réuni les différentes provinces des gaules à la couronne, que l'on entreprend la reconstruction des cathédrales. C’est alors que quelques diocèses substituent leurs anciens monuments par des résidence neuves élevées sur des plans sortis du domaine du roi. Mais ce mouvement est restreint, hésitant, et il s'arrête prochainement par suite du fil à retordre politiques du xive siècle.

À le décès de philippe-auguste, en 1223, les principales grandes églises -peu sont achevées- comprises dans le domaine royal étaient celles de sens, de paris, de chartres, de bourges, de noyon, de laon, de soissons, de meaux, d'amiens, d'arras, de cambrai, de rouen, de Évreux, de sées, de bayeux, de coutances, du mans, d'angers, de poitiers, de tours ; or tous ces diocèses avaient rebâti leurs cathédrales, dont les réalisations étaient très avancées. Si certains diocèses sont politiquement mariés à le domaine royal, et s'en admettent vassaux, leurs grandes églises se élèvent rapidement sur des plans nouveaux, comme celles de la france; les paroisses de reims, de châlons, de troyes en champagne, sont les 1ers à suivre le mouvement. En bourgogne, ceux d'auxerre et de nevers, les plus rapprochés du domaine du roi, reconstruisent leurs grandes églises ; ceux d'autun et de langres, plus éloignés, conservent leurs traditionnelles églises élevées vers le centre du xiie siècle.
À le décès de charles v, en 1380, les britannique ne détiennent plus que bordeaux, le cotentin et calais ; mais la résine est surmenée : les cathédrales dont la restructuration ne fut jamais démarrée durant tout le xiiie siècle demeurent ce qu'elle étaient ; celles demeurées pas terminées se finissent avec difficulté.






esthétique de l'architecture gothique

Malgré qu'il est habituel de définir l'architecture médiéval par l'utilisation de l'arc brisé ( l'ogive des anciens antiquaires ) , on ne saurait réduire un type architectural précis, ou tout autre art, à des caractéristiques spécifiques. Opposer le roman à le médiéval par l'usage du plein cintre ou qui était l'ogive est contraire et ne joue pas sens au niveau historique.
L'arc brisé et la voûte sur croisée d'ogives sont utilisés avant l'apparition des premiers monuments gothiques.
Plein d’autres méthodes architecturaux ou décoratifs furent utilisés. L'alternance de piles fortes et piles médiocres rythme la nef et renforce ainsi la reproduction de longueur, d'horizontalité. Le compte rendu hauteur/largeur de la nef accentue ou abaisse la sensation d'haut de la voute. L'aspect des piles, la décoration des chapiteaux, la proportion des échelons ( grandes arcades, triforium, tabatières hautes ) ,... Participent tous à l'expression de l'esthétique de l'architecture flamboyant




Une église est un édifice théologique dont le rôle principal est de simplifier le regroupement d'une communauté chrétienne. Il s'agit de l'essentiel bâtiment de ce type du église dans la christianisme. Les monuments qualifiés de chapelles sont fréquemment personnels, comme la chapelle d'un château fort, ou destinés à une communauté théologique, par exemple un monastère. La paroisse réside dans un local consacré à la prière et à les pratiques commmunautaires des catholiques. Spécialement, la messe est, typiquement, dite dans une paroisse par l'aumônier, dans le catholicisme et le culte orthodoxe. Dans le protestantisme, le même édifice ayant la même fonction est historiquement nommé le temple et non pas la paroisse, le terme se trouvant fondamentalement retenu en vue de désigner l'organisme, ou alors la communauté des chrétiens ( dans certaines cas exceptionnels, spécialement dans l'atmosphère luthérien gouvernemental, le mot église est utilisé en vue de désigner un édifice ).


lieu de mise en place
Les premières paroisses, à le époque de la clandestinité, c-à-d avant l'ive siècle, étaient des maison-églises, c. -à-d. Une pièce réservée dans la maison d'un millionnaire chrétien. Quelquefois, des catacombes, quand-t-elles débutèrent à être réalisées, spécialement à rome.

Habituellement, quand on avait statué de construire une paroisse :
On optait un saint patron de ce bâtiment ( le saint protecteur ) ; cet assortiment était en général le fait du patron temporel du église, sur l'activité duquel la paroisse allait être fabriqué : le pontife, un propriétaire, et des abbayes ;
Pour les plus imposantes églises, à partir du milieu du moyen-âge, à le lieu qui serait la croisée des transepts, on plantait un imposant mât ; à l'aube, la journée de la fête du saint patron ( si cette fête se célébrait avant le solstice de été ) ; sinon, en soirée, le jour de cette même fête ( si cette fête se célébrait après le solstice de été ) , on notait l'ombre portée par le mât : l'orientation de cette ombre définissait le pôle est-ouest, nommé decumanus chez les romains. D'autres opérations allaient accompagner ; retracé du cercle dans lequel s'inscriraient les quatre piliers du transept, retracé du cercle définissant l'asil, définition de la nef.