Le père paret : christian bobin




le future des églises en france
Faute d'un entretien suffisant de la part des municipalités qui en ont la charge, plusieurs milliers de églises sur les 40000 que dénombre la france risquent fortement de être rasées dans les prochaines années. Il faut dire que les villages n’ont pas toujours les moyens bancaires d'entretenir leur paroisse, bien qu'elle n’est pas particulièrement conséquente. De même, quelques agglomérations qui dénombrent les dizaines de superbes monuments, ne peuvent souvent garantir seules la maintenance et les travaux. La france est l'un des pays qui compte le plus de édifices théologique, et c’est de façon totale que le coût de restauration est très important. Ce problème s'emploie de la même façon à les très nombreux châteaux.
Y a pas de véritable inventaire des édifices cultuels sur le territoire français. Le poste d'observation du bien religieux en évalue le chiffre à 100000 sur la base d'une moyenne de 2, 5 monuments dans toutes les 36000 communes.
Néanmoins, de nombreux communes restaurent de manière considérable leurs paroisses. Citons entre autres la cité de Écouen qui en 2010 termine les imposants travaux de modernisation intérieure du église st acceul, bâtiment connu pour son coté architectural ( jean bullant ) mais avant toute chose pour ses rosaces. Les frais de cette construction est réputé à près de 1, 5 million de € ( financé en partie par le État ).
Quelques villes, organisent dans leur paroisse, en plus des offices cléricaux, des bouleversements laïques, telque des festivals d'orgue ou d'autres instruments de époque.
Ces célébrations donnent la possibilité communément d'attirer un nouveau public dans les églises, voire de financer un élément de l'entretien. Ces exploitations déroutées sont régulières en france, quelques communes effectuant même la sélection de réhabiliter les locaux théologique en établissement culturel.
Les paroisses reconnues en vue de leur architecture ou leur décoration interne peuvent générer un voyage, et ainsi une activité économique, capable de simplifier l'entretien. Mais tous les édifices clérical ne sont capables de prétendre à un grand tourisme, ce qui ne simplifie pas leur restauration.



architecture moyenâgeux
Ce sont les italiens de la renaissance qui ont désigné gotico flamboyant ce genre initialement nommé francigenum opus ( ou opus modernum ) , à le pied de la lettre œuvre française, c. A. D. Façon de construire en Île de france. Le terme médiéval est visiblement utilisé pour la première fois par l'artisan peintre raphaël vers 1518 dans un rapport à sa sainteté léon x sur la conservation des monuments primitives : raphaël considère que les arcs en ogive architectural flamboyant rapellent le galbe des arbres formant les cabanes antiques des habitants des espaces verts d'allemagne - un mythe qui revenira chez les romantiques - et fait référence, de façon impartial, à l'art médiéval du ve siècle, nommant en revanche le francigenum opus gothique sous le terme art tudesque1. Flamboyant est après réutilisé dans un certain point de vue péjoratif par le critique d'art giorgio vasari en 1530, faisant lui référence à la sacoche de rome par les sanguinaire goths. L'art flamboyant était donc le œuvre de sanguinaires pour les italiens de la renaissance, car il aurait résulté de l'oubli des techniques et des beautés esthétiques gréco-romains. L'art flamboyant a également été intensément critiqué par des auteurs français comme boileau, la bruyère ou jean-jacques rousseau, avant de devenir aménagés par des architectes comme francesco borromini ou jan blažej santini-aichel inventeur de la forme baroque gothique


L'architecture moyenâgeux apparaît en Île-de-france et en haute picardie à le xiie siècle ; elle se répand rapidement à le nord de la loire, puis à le sud de la loire et en europe jusque à le beau milieu du xvie siècle egalement jusque à le xviie siècle dans beaucoup de pays. La méthode et le décoratif moyenâgeux se coninue dans l'architecture française par delà le xvie siècle, dans la période classique, dans certains détails et habitudes de restructurations, et ensuite débarque un véritable renouveau avec la vague de l'historicisme à le xixe siècle, jusque à le début du xxe siècle : le type fut nommé néo-gothique.
Son identité forte est autant philosophique qu'architecturale. Elle décrit a priori, de ces deux points de vue, l'un des principaux achèvements esthétiques du moyen-âge.





l'art flamboyant
Il se reconnaît par l'emploi de l'arc brisé, dont la clef de voûte forme un angle entre les deux arcs qui la constituent. Il a surtout été exploité pour la restructuration des cathédrales.
Son aspect est plus fin et élancé, grâce à l'emploi d'arcs boutants, afin de reporter l'accroissement loin des murs, qui sont alors évidés en vue de faire place à de larges baies. Les façades s'ornent alors d'extraordinaires vitraux comme à la sainte chapelle, ou dans la cathédrale de beauvais, plus haute clé de voûte moyenâgeux, avec 48 m définie par son type en croix grecque.